hiver
LIQUEUR D'ORANGE… un autre petit plaisir à partager entre amis !
Petits plaisirs
à partager entre amis…
Votre Liqueur d’Orange !
/image%2F0661292%2F20161105%2Fob_fc36a6_365-jours-mieux-copie.jpg)
LIVRES - www.lesjardinsdalice.ch
Le petit dernier est arrivé... Envie d'en savoir plus ? Jetez un oeil par là... À chaque jour sa ou ses petites recettes plaisir et mieux-être, tout cela au fil des saisons : telle est la ...
Avec le VIN de STE HILDEGARDE, placez l'Avent sous le signe du bien-être !
Deux potions anti-froid
L’une sage... et l’autre moins !
- Versez 4 pincées de noix de muscade râpée, 10 g de camomille allemande, 10 g de semences de fenouil, 4 rondelles de gingembre et 10 g de romarin dans un litre de vin rouge.
- Ajoutez encore 2 cuillerées de miel, et laissez macérer le tout une semaine, si possible au soleil, en remuant chaque jour.

- Versez 5 dl d’eau bouillie, juste frémissante, sur une cuillerée à soupe d’origan.
- Laissez infuser 10 minutes, filtrez… buvez !
- Placez de l’origan frais, préalablement écrasé, dans un linge, et posez le tout sur le couvercle d’une casserole dans laquelle vous aurez mis de l’eau à cuire.
- Dès que le cataplasme est chaud, appliquez-le sans attendre sur la zone douloureuse.
Vin fortifiant de Ste Hildegarde et infusion d'origan, retrouvez ces deux suggestions sous la seule date du 1er décembre dans ce petit perpétuel autour des plantes. Et il y a encore 365 autres jours...
/image%2F0661292%2F20161105%2Fob_fc36a6_365-jours-mieux-copie.jpg)
LIVRES - www.lesjardinsdalice.ch
Le petit dernier est arrivé... Envie d'en savoir plus ? Jetez un oeil par là... À chaque jour sa ou ses petites recettes plaisir et mieux-être, tout cela au fil des saisons : telle est la ...
En direct du Mexique : ALOE VERA ET BIJOUX en argent
/image%2F0661292%2F20150118%2Fob_4dab81_aloe-vera-plante.jpg)
Aujourd’hui je vous emmène dans un jardin très loin du mien : départ chez Nicolas, au Mexique ! L’aloe vera y est roi, et avec lui une recette traditionnelle transmise par Santos, la grand-maman de l’épouse de Nicolas…
Voici donc comment préparer une crème hydratante super efficace….
Choisissez un aloès suffisamment grand pour pouvoir le priver d’une demi-feuille sans qu’il ne s’affaiblisse. Puis :
- Retirez ensuite la peau de la feuille afin de ne garder que le gel contenu à l'intérieur. Attention : La peau verte étant toxique, il est important de bien retirer toute la peau.
- Coupez ensuite le gel de la plante en fines lamelles.
- Mélangez ces dernières à une crème hydratante bon marché et laissez reposer le mélange durant deux jours.
- Il restera probablement des morceaux de gel : mixez ou écrasez, mais mélangez ensuite bien le tout avant de l’utiliser en application sur le visage.
L'inconvénient d'une telle crème, précise Santos, est que son odeur n’est pas forcément très agréable : pour compenser cet inconvénient, choisissez une crème hydratante de base parfumée.
Mon conseil : ou ajoutez simplement 3 ou 4 gouttes d’huile essentielle de géranium rosat… (ou de lavande, par exemple, si vous êtes un homme).
Deux recommandations encore : le gel de l’aloe vera accélère la guérison de nombreux soucis cutanés, mais n’appliquez en revanche pas cette crème sur une plaie.
Peu de personnes sont allergiques aux plantes naturelles, mais pour vous en assurer, déposer un peu de cette crème sur votre bras. Pas de réaction ? C’est tout bon !
Si vous aimez presque autant les beaux bijoux en argent que les recettes de beauté naturelles...vous allez être comblé(e) !
Sous l’enseigne Vivalatina, Nicolas propose des bijoux aztèques, des bijoux mayas et des bijoux contemporains, tous en argent. Son site offre en plus de bien utiles infos et conseils pour en prendre soin. Et puis, si le cœur vous en dit, vous pouvez aussi lui demander de réaliser le bijou de vos rêves… Très joli choix, service impeccable, prix aussi, et le sourire en plus !
Et puis qui sait, à l’approche de la St-Valentin, ça peut donner des idées !
N.B. le superbe bracelet de bras de la photo est une reproduction fidèle d'un bijou grec datant de 2300 ans.
Envie d'en (sa)voir plus ?
Oranges amères : un délice au jardin d’Alice !
Si vous aimez les oranges amères, dépêchez-vous, c’est déjà bientôt la fin de la saison. Irrésistibles en confitures, elles font aussi merveille en vin d’orange. Nous en reparlerons, mais l’année prochaine. Aujourd’hui, avec ce vilain temps, il nous faut de la douceur, et vite…
Comme toujours, il y a plusieurs recettes pour cette merveilleuse confiture. Et comme souvent, le plus simple se révèle le meilleur.
L’idée de ce billet était surtout de vous rappeler que si vous en voulez, c’est le dernier moment. Mais tant que nous y sommes…
Pour 8 pots, il vous faut 2 kilos d’oranges amères.
- Brossez- les bien, trouez-les en deux ou trois endroits (une aiguille à tricoter fait l’affaire), mettez-les dans une grande casserole, couvrez d’eau et laissez cuire une heure. Laissez ensuite reposer toute la nuit.
Le lendemain :
- Enlevez l’eau et occupez-vous des oranges : retirez tous les pépins, coupez les écorces très finement, et remettez-les dans la casserole.
- Ajoutez ensuite l’écorce et le jus d’un citron et du sucre (entre 1,5 et 1,8 kg), faites bouillir, et laissez cuire entre 20 et 40 minutes. C’est tout ! Et c’est absolument dé-li-cieux !
BON REVEILLON !
Les joies de la table oui, mais sans les ennuis !
Période de festivités oblige, toute l'attention se porte sur les plaisirs, mais parfois aussi les inconvénients des tables trop bien garnies…
Le pire, pour la ligne et pour la forme, ce sont bien sûr les abus alimentaires. L’idéal serait de les éviter, mais entre plaisir des Fêtes, convivialité et gourmandise, ce n’est pas toujours facile. Alors ? Alors réparez les dégâts au plus vite : passez la moitié d’un concombre à la centrifugeuse, et buvez ce jus le matin, à jeun. En cette période, n’hésitez pas à pratiquer ainsi plusieurs jours de suite, ce sera toujours ça de gagné.
Autres grands classiques des fins d’année : les problèmes de digestion.
Pour les contourner, pensez à l’homéopathie, et plus particulièrement au Nux Vomica 5 CH, à la fois pour prévenir et calmer les lourdeurs.
Tout de suite après un repas trop copieux ou autres excès, privilégiez les tisanes de menthe, d’anis, de fenouil ou de gingembre râpé. Ou alors, simple et très efficace aussi : versez un jus de citron dans de l'eau préalablement bouillie, attendez que cette dernière devienne tiède et buvez tranquillement.
Quant aux huiles essentielles, elles sont une fois encore de grandes alliées. Si vous sentez bien que vous avez abusé, 2 gouttes d’huile essentielle de pamplemousse sur une cuillère de miel, à déguster à la fin du repas, se révèle être le plus excellent et gourmand des digestifs.
Toujours intéressantes aussi, les huiles essentielles de menthe après les repas, de basilic indien contre les ballonnements, et encore d’estragon ou de gingembre comme stimulants digestifs. Mais attention : une goutte et d’une huile seulement, par exemple mélangée à une cuillerée de miel..
Gingembre râpé, en infusion ou encore en huile essentielle... un précieux allié en période de festivités !
Lendemains de hier…
La fête, c’est bien. Le lendemain du Réveillon, en revanche, la forme n’est pas toujours au rendez-vous.
Un bon truc à faire en rentrant d’une soirée un peu trop arrosée, à titre de prévention pour le jour suivant, mettez à cuire un oignon et un poireau dans un litre d'eau salée, et buvez le bouillon juste avant d'aller vous coucher.
S’il y a franchement de la gueule de bois dans l’air, versez 2 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée sur un mouchoir et respirez à fond, le nez dans le mouchoir.
Une boisson vous aidera également : préparez une infusion, par exemple de verveine, ajoutez une cuillère à café de miel, additionnée d’une goutte d’huile essentielle de menthe poivrée et buvez lentement. Et si vous en êtes carrément au stade de la nausée, ajoutez encore 1 goutte d’huile essentielle de gingembre : tout rentrera rapidement dans l’ordre !
Pas d’huiles essentielles à l’horizon, et tout est évidemment fermé ? Pas grave : mastiquez très lentement quelques grains de café, avalez-les, et buvez un grand verre d'eau fraîche.
L'idéal restant bien sûr de vous réveiller tout dispos et en forme pour le premier jour de l'an ... BONNE ANNÉE à tous !
(reprise partielle d'un article écrit il y a 3 ans pour Capitole Magazine)
BÛCHE SANS LAIT NI GLUTEN… & TRADITIONS DE NOËL
Incontournables pour des Fêtes réussies, ils font absolument partie de la tradition. Mais qu’en est-il de l’origine de Noël, du sapin, de la bûche ?
Il était une fois, il y a fort longtemps … une fête païenne, célébrée de différentes manières selon les endroits, pour accueillir le solstice d’hiver. Dans la Rome antique, par exemple, de grandes réjouissances, les Saturnales, dédiées au dieu Saturne et à la liberté, se déroulaient chaque année entre le 17 et le 24 décembre. L’échange de cadeaux faisait déjà partie de la coutume, mais ce n’est que bien plus tard que la fête païenne qui marquait le solstice est devenue Noël. Il faudra attendre 3 siècles après le début de notre ère pour que Noël soit reconnu comme fête religieuse officielle, commémorant la Nativité, et deux siècles encore pour qu’elle soit généralisée.
D’où viens-tu, roi des forêts ?
Il est temps donc de bientôt célébrer Noël, avec tout ce que cette fête signifie de chaleur, de partage et de convivialité, indépendamment des convictions religieuses de chacun, et de se réunir pour cela autour du fameux sapin. L’arbre de Noël, qui apporte sa petite magie à chaque fin d’année, que ce soit en le décorant ou en l’admirant, semble bien être un mélange de traditions païennes et chrétiennes.
Bien avant le début de notre ère, donc avant la naissance de Jésus-Christ, les Romains décoraient déjà leurs maisons de lierre, de différents feuillages et de branches de houx, à l’occasion des Saturnales, ces grandes fêtes en l’honneur de Saturne, qui se déroulaient entre le 17 et le 24 décembre.
Toujours selon une très ancienne tradition, les peuples nordiques, eux, plantaient un sapin devant leur maison à l’occasion de fêtes très débridées, données en l’honneur de certains dieux. Ces fêtes de Jul, puisque tel était leur nom, se déroulaient aux alentours du solstice d’hiver.
Dans d’autres régions de l’Europe, on décorait les portes et les fenêtres, mais aussi les plafonds et les miroirs de lierre.
Par ailleurs, on retrouve chez de nombreux peuples, Celtes en tête, le culte de l’arbre sacré, symbole de l’arbre de vie.
Notre actuel sapin de Noël est certainement le descendant d’un mélange de ces différentes coutumes. Il symbolisait lui aussi l’arbre de vie, et ses premières décorations étaient donc tout naturellement des pommes.
Et ce n’est finalement qu’au 18e siècle que l’arbre de Noël fit en tant que tel son entrée dans les églises.
Les pommes firent peu à peu place à diverses friandises. Les bougies, initialement au nombre de douze, une par mois, se multiplièrent (et avec elles les risques d’incendie : prudence toujours !).Puis, selon les régions et les modes, les sapins s’ornèrent de figurines en paille ou de boules colorées, de guirlandes, de petits cadeaux à distribuer… bref de toutes les décorations que l’on connaît aujourd’hui.
Quant la fameuse bûche de Noël, qui ne saurait manquer sur aucune table, elle est elle aussi reliée à un rite païen. Autrefois, pour avoir une bonne récolte l’année suivante, la coutume voulait que l’on place dans l’âtre une très grosse bûche, de préférence d’un tronc d’arbre fruitier, qui se consume le plus lentement possible, l’idéal étant qu’elle puisse durer jusqu’au passage de la nouvelle année. Dans ce but, elle était traditionnellement bénie juste avant l’allumage avec une branche de buis ou de laurier. En région viticole, la bûche était même arrosée de vin, pour assurer de belles vendanges. Comme on lui attribuait des vertus magiques, ses cendres étaient ensuite parfois réparties, pour améliorer les récoltes mais aussi pour protéger la maison et ses habitants.
Allergique, peut-être, mais pas privé de dessert pour autant ...
Bûche au chocolat,
parfum cannelle-orange
sans lait ni gluten
Bien connue des gourmands allergiques en particulier, et des personnes soucieuses de préserver leur santé en même temps que la planète en général, Valérie Cupillard nous offre un délicieux cadeau de Noël : une bûche, au chocolat et à la châtaigne.
Ni beurre ni crème dans cette bûche à la purée de châtaigne ! C’est une recette fondante et séduisante pour un joli dessert de fêtes également sans œufs ni gluten.
Rapide à préparer à l’avance, cette terrine de châtaigne et de chocolat est fondante et légère à la fois.
300 g de purée de châtaigne nature
100 g de chocolat noir à 70 % de cacao
25 cl de lait de riz (ou autre lait végétal)
2 g d’agar-agar en poudre
1 c. à c. d’arrow-root
1 c. à c. d’hydrolat de cannelle
4 gouttes d’huile essentielle de mandarine zeste ou d’orange zeste
- Délayez l’arrow-root (ndlr : fécule extraite originairement de la racine de maranta et réduite en une fine poudre blanche que l'on utilise comme agent épaississant) avec quelques cuillerées de lait de riz, ajoutez l’agar-agar et versez la totalité du lait végétal, la purée de châtaigne non sucrée et le chocolat en morceaux.
- Placez sur feu doux et remuez avec une fourchette pour mélanger jusqu’à ce que le chocolat soit fondu.
- Laissez frémir pendant 2 minutes. Puis, hors du feu, ajoutez l’hydrolat de cannelle et les gouttes d’huile essentielle de mandarine ou d’orange. Mélangez bien.
- Graissez un moule à cake en verre ou plusieurs petits moules individuels avec une huile d’olive douce. Versez la crème de châtaigne.
- Placez une nuit au réfrigérateur.
- Démoulez et décorez comme vous le souhaitez : glaçage au chocolat, copeaux de chocolat ou éclats de fèves de cacao cru, mélange de Fleurs d’épices (baies de poivre rose, pétales de rose, poudre de vanille et de fraise…), marrons glacés, physalis…
Merci Valérie !
Mes sources :
La photo, ô combien alléchante, est de E. Cupillard / biogourmand
Cette délicieuse recette est donc tirée du livre de Valérie Cupillard, « Cuisinez gourmand sans gluten, sans lait, sans œufs… », paru aux éditions Prat, http://www.biogourmand.com/sans_gluten_sans_lait_sans_oeufs.htm.
Extraits de différents articles que j’ai eu le plaisir de rédiger ces dernières années pour Capitole Magazine, devenu depuis la Revue Benu !