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autres plaisirs

Pour la Saint Valentin, offrez-lui les saveurs de l’amour !

13 Février 2023 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Fêtes, #Epices, #Autres Plaisirs, #Bonheurs, #Gourmandises..., #Plantes Aromatiques, #Libido, #Hiver, #En cuisine..., #Tonus, #Traditions

Pour la Saint-Valentin...
Les Saveurs de l’Amour !
Pour la Saint Valentin, offrez-lui les saveurs de l’amour !
Jouer des herbettes et des épices en cuisine, c’est un peu comme mettre du piment dans sa vie : avec elles, plus de saveurs et de parfums, plus de couleurs, un zeste de fantaisie et des plats franchement ensoleillés. En plus, certaines épices seraient aphrodisiaques… Invitez-les - toute l’année - plus souvent à dîner !
Certains aliments, plantes et épices ont la réputation de favoriser les ardeurs et de rendre les amoureux plus fougueux. Et cela depuis fort longtemps : à l’époque des Romains déjà, Julie, fille d’Octave-Auguste faisait non seulement servir un ragoût d’huîtres (qui est à lui seul un « must » en cuisine de l’amour ! ), mais en plus elle l’assaisonnait de poivre, céleri, pignons, girofle, cumin et coriandre… autant d’épices particulièrement douées pour mettre les sens en fête !
Aphrodite et Eros à table
Les huîtres, qui étaient aussi en bonne place dans les banquets de Cléopâtre, avaient également les faveurs d’un certain Casanova : il en avalait, dit-on, plusieurs douzaines avant d’aller honorer ses rendez-vous.
C’est sans doute grâce à leur étonnante richesse en sels minéraux que les huîtres, tout comme d’ailleurs d’autres crustacés, doivent leur excellente réputation.
Quant aux épices, en plus de celles préconisées par Julie-la-Romaine, comptez aussi avec quelques autres…
Leur force ?
Le poivre de Cayenne, riche en vitamine C, stimule la circulation.
Le céleri, lui, contient des vitamines A, C, P, ainsi que différentes vitamines du groupe B, des minéraux et des oligo-éléments. Excellent pour les muscles, il a, comme beaucoup d’aliments stimulants, des propriétés vasodilatatrices et aide à combattre le vieillissement. Un aliment longue vie et grande forme donc !
Les clous de girofle, eux, ont la réputation d’être parmi les plus puissants aphrodisiaques naturels. Efficaces contre la fatigue, physique ou intellectuelle … de tout grands alliés !
La coriandre, qui contient elle aussi beaucoup de vitamine C, semble avoir un effet légèrement euphorisant.
Quant au gingembre, ses propriétés stimulantes sont si remarquables que l’on raconte que pendant longtemps cette racine était réservée à l’usage exclusif de l’empereur. Aujourd’hui, ouf, chacun peut en profiter ! Frais, le gingembre a bien plus de goût que sec et en poudre. Utilisez-le pelé puis coupé en petits morceaux, avec de l’ail et de l’oignon, avant d’y faire revenir des légumes, ou alors parsemez vos préparations de gingembre frais râpé. Excellent au goût, pour la digestion et… pour tout le reste !
Originaire d’Asie, le ginseng est un puissant tonique pour tout l’organisme. Anti-inflammatoire et antioxydant, il aurait aussi des propriétés stimulantes sur l’activité sexuelle.
Pensez encore au raifort, si agréable pour relever salades, sauces et pâtés, à la noix de muscade, particulièrement recommandée aux messieurs (à doser raisonnablement), et au safran qui stimulerait, lui aussi, la libido. Attention à ne pas abuser de ce dernier, car en excès, il provoquerait... des fous rires incontrôlables !
Si l’efficacité des épices sur l’augmentation ou l’intensité du désir est plus souvent supposée que vraiment prouvée, une chose est certaine : les épices contribuent à augmenter la résistance physique, et donc à lutter contre la fatigue, elle-même grande ennemie de la libido. En plus, délicieuses et souvent colorées, elles rehaussent l’aspect et les saveurs des plats… aucune raison vraiment de s’en priver !

 

Salades revigorantes et desserts parfumés

Menthe, sauge, mais aussi roquette ou sarriette sont toutes de délicieuses complices

Menthe, sauge, mais aussi roquette ou sarriette sont toutes de délicieuses complices

Côté herbettes, faites bonne place à la sauge, la menthe, à la roquette et à la sarriette d’été. Si dans le Sud, on surnomme aussi cette dernière « gingembre provençal », ce n’est pas pour rien. Sans oublier, en cuisine ou en tisane également, le thym, qui purifie le corps tout en tonifiant l’organisme.
Casanova, toujours lui, confectionnait son vinaigre personnel, apparemment une autre source secrète de son étonnante vigueur. À défaut d’en connaître tous les secrets, voici une suggestion qui s’en rapproche :
  • Dans un litre de vinaigre de vieux vin, laissez infuser une pointe d’ail, de la sauge, de l’estragon et de la sarriette.
  • Au dernier moment, parsemez encore votre salade d’origan…
Et pour le dessert ?
Misez sur les préparations à base de chocolat, bien sûr, ainsi que sur celles qui mettent miel, noisettes, amandes, pignons et pistaches à l’honneur. Pensez aussi aux petits morceaux de gingembre confits et à la merveilleuse vanille : en plus de son arôme et de ses effets légèrement euphorisants, son odeur stimule les sens… exactement ce qu’il faut pour un dessert en tendre tête-à-tête !
(Billet republié)
Et puis, puisque vous avez encore un peu de temps devant vous, si vous lui prépariez, pour vous en réjouir à deux, la boisson festive et euphorisante par excellence ? J'ai nommé bien sûr l'Hypocras... À moins

À moins bien sûr que vous ne préfériez ce merveilleux et réconfortant petit classique  😍 :

Râpé ou confit, de la salade de carotte à la mignardise... vive le gingembre !Râpé ou confit, de la salade de carotte à la mignardise... vive le gingembre !Râpé ou confit, de la salade de carotte à la mignardise... vive le gingembre !

Râpé ou confit, de la salade de carotte à la mignardise... vive le gingembre !

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Mandarines en confiture surprise

18 Décembre 2022 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Bonheurs, #Confitures, #En cuisine..., #Fruits, #Gourmandises..., #Hiver, #Tonus, #Autres Plaisirs, #Coups de Coeur, #Agrumes

Mandarines 
avec un brin, non... une giclée de fantaisie

En attendant le gourmand bonheur de la confiture d’oranges amères, si on s’occupait un peu des mandarines ? Certains en raffolent, d’autres les trouvent un peu fades. Difficile de les imaginer en marmelade ? Pas tant que cela : il suffit de rajouter le petit rien qui mettra le palais en joie !
Ce qui en fera du même coup une parfaite petite intention à glisser sous le sapin  de Noël smiley...
Pour réaliser notre confiture du jour, prévoyez 18 jolies mandarines sans pépins, du sucre, un sachet d’agar-agar et… beaucoup de patience. Quant à l’ingrédient surprise, vous le découvrirez un peu plus bas !
  • Lavez soigneusement les mandarines, et épluchez-les.
  • Grattez bien l’intérieur des écorces, coupez-les en fines lanières, plongez ces dernières 5 minutes dans de l’eau en train de bouillir. Cette phase est particulièrement importante, ne serait-ce que pour débarrasser les écorces de toutes substances indésirables…
  • Egouttez-les, et mettez-les de côté.
  • Occupez-vous maintenant des quartiers de mandarine : retirez tous les petits fils blancs (c’est là qu’intervient la notion de patience…) puis coupez-les en deux. Pesez.
  • Pesez ensuite le même poids de sucre que de fruits
  • Versez le sucre et un petit verre d’eau dans une casserole, et faites chauffer, sans cesser de remuer.
  • Lorsque le sirop est à ébullition, ajoutez les fruits et les écorces. Laissez cuire entre 45 et 50 minutes, en gardant bien sûr toujours un œil sur la casserole et en remuant souvent.
À la fin, j’ai ajouté un sachet d’agar-agar et... une bonne giclée de whisky, mais oui !
C’était juste un essai, mais ma curiosité a été bien récompensée : cette délicieuse confiture aux airs de fêtes fait l’unanimité.
Vous avez vous aussi envie d’ajouter un caractère certain à d’un peu trop douces mandarines ? À votre cuisine !

Article republié

Et si vous voulez la vraie Confiture de Noël, c'est par là : 
Mandarines en confiture surpriseMandarines en confiture surpriseMandarines en confiture surprise

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Saint Valentin, entre histoire et légendes

14 Février 2022 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Fêtes, #Infos sympas, #Hiver, #Autres Plaisirs, #Boissons sages, #En cuisine..., #Traditions, #Épices

 

Saint Valentin,
patron des Amoureux mais pas que…
Saint Valentin, entre histoire et légendes
Bientôt la Saint-Valentin... Toujours possible mais, reconnaissons-le, difficile de faire sans fleurs, sans chocolats et sans petit repas romantique aux chandelles, le 14 février ! Cela, on le sait tous (et toutes). Ce que l’on connaît moins, en revanche, c’est l’origine de cette fête. Qui était donc ce fameux Saint Valentin, patron des amoureux, célébré chaque 14 février ? 
Il existe plusieurs légendes qui tournent autour de trois Valentin, tous prêtres au troisième siècle de notre ère. La plus célèbre d’entre elles réunit sans doute un peu des trois histoires…
Tout commence dans la Rome Antique, sous le règne de l’empereur Claude II. Les campagnes militaires font d’énormes ravages, et il devient de plus en plus difficile de recruter des soldats pour rejoindre les légions. Les hommes préfèrent largement rester dans leurs foyers que partir pour les champs de bataille. L’empereur Claude II en déduit que si les Romains refusent d’aller combattre, c’est pour rester auprès de leur femme et de leur famille. Fort de cette conviction, il décide donc purement et simplement d’interdire le mariage ! Fin du premier acte.
Pendant ce temps, et malgré l’interdiction de l’empereur, un prêtre, un certain Valentinus n’en fait, si l’on n’ose dire, que selon son cœur : il encourage les amoureux qui le désirent à venir le trouver discrètement et n’hésite pas à leur donner la bénédiction nuptiale. La suite est hélas facile à deviner… Dès que l’empereur eut connaissance de ces mariages secrets, le généreux prêtre fut arrêté et emprisonné.
Cela pourrait être la fin du deuxième acte, mais selon certaines versions il y a un petit appendice : alors qu’il est en prison et attend son exécution, Valentinus se lie d’amitié avec la fille de son geôlier. Cette dernière était aveugle, et Valentinus, qui avait aussi des dons de guérisseur, lui aurait redonné la vue. Juste avant d’être décapité, le 14 février 270, il lui aurait encore offert une lettre ou des feuilles en forme de cœur avec la seule mention « Ton Valentin ». Tout cela est bien romantique !
Mais ne vous y trompez pas : les véritables raisons qui ont poussé l’Eglise catholique à canoniser Valentin en l’honneur de son sacrifice pour l’amour le sont nettement moins…
Saint Valentin, entre histoire et légendes
 L’objectif : détrôner un rite païen !

 

Notre Valentin est exécuté en 270, et ce n’est que plusieurs siècles plus tard qu’il devient Saint Valentin. Que s’est-il passé entre-temps ? La fin de l’empire romain ! Et avec lui la célébration d’un certain nombre de fêtes païennes, habilement transformées par l’église catholique en fêtes chrétiennes.
Ainsi, le 15 février était autrefois la date des Lupercales romaines : cette fête, en l’honneur de Lupercus, dieu des bergers, et de Junon, déesse et protectrice des femmes, célébrait la fertilité, la fécondité et était marquée par différents rites dont la moralité laissait passablement à désirer. Un exemple ? En plus du vin qui, évidemment, coulait à flots, on plaçait le nom de toutes les jeunes filles dans une urne, et chaque jeune homme tirait le nom de la jeune personne qui lui était assignée pour l’année : une sorte de tombola de l’amour en quelque sorte !
De telles pratiques ne plaisaient, on s’en doute bien, que fort peu à l’église catholique. Pour y remettre bon ordre, le pape Gélase 1er décida en 496 que Valentin, devenu pour la circonstance Saint Valentin, serait le patron des amoureux, et que sa fête serait célébrée le 14 février, ce qui permettait de « remplacer » les Lupercales en tout bien tout honneur.

Pour les amoureux, mais pas que pour eux !

À partir de là, avant de prendre l’envergure bien plus commerciale que romanesque qu’on lui connaît actuellement, la Fête des amoureux se répandit peu à peu, sous différentes formes, avec des pointes de popularité par époques et par régions.
À la fin du Moyen Âge, par exemple, l’aristocratie anglaise a adopté la coutume du Valentinage, dérivée sans doute des Lupercales, mais ô combien plus délicate : pour le temps d’une journée seulement, le jeune couple choisi par le hasard avait carte blanche pour s’adonner à l’art des galanteries tout en se faisant de petits cadeaux. Avec le temps, cette coutume s’est enrichie d’envoi de poèmes, et de mots doux. Ces derniers sont précisément appelés des « valentins », en souvenir du prêtre italien.
L’envoi de ces billets doux est devenu à partir du 18e s. une véritable tradition, en Grande-Bretagne d’abord, puis en Amérique du Nord et peu à peu en Europe aussi.
Vous avez été surpris de recevoir un jour un tendre message d’un(e) ami(e) qui vous souhaitait une bonne Saint Valentin ? Ne vous étonnez plus : il ou elle est sans doute d’origine anglo-saxonne ou américaine ! Qui a dit que la Saint Valentin était seulement la fête des amoureux ? Là-bas, c’est aussi celle de l’amitié, et même les enfants s’envoient des petits billets sympas.
Selon une autre légende, la Saint Valentin trouverait ses origines en Angleterre et en France, et daterait « seulement » du Moyen Âge. Fondée sur la simple observation des oiseaux, dont les amours commencent le 14 février, elle a poétiquement inspiré les hommes, qui trouvèrent la date excellente pour se déclarer…
C’est probablement à cette version-là que l’on doit la coutume, plus répandue aux États-Unis que chez nous, de s’envoyer par courrier des graines à planter !
Choisissez la légende que vous préférez, et dans tous les cas, en Amour ou en Amitié… bonne Saint Valentin !

 

(Republié...toujours d'actualité 😍 )

À déguster entre amoureux ou entre amis, le 14 février ou quand il vous plaira :

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Epiphanie - Vive les Rois !

3 Janvier 2022 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Autres Plaisirs, #Bonheurs, #En cuisine..., #Fêtes, #Gourmandises..., #Hiver, #Infos sympas, #Sans lait ni gluten, #Traditions

 

Allez-vous fêter les Rois ?

 

 

Une galette, une fève et… plusieurs histoires

Epiphanie - Vive les Rois !
Si l’Epiphanie, le 6 janvier, est, tout comme Noël, propice à l’échange de cadeaux, c’est pour rappeler les présents que les Rois mages, venus depuis l’Orient et guidés par une étoile, ont apporté cette nuit-là jusque dans la crèche de Bethléem. Gaspard, Melchior et Balthazar font partie de la version chrétienne de l’histoire de cette fête, mais il y en a d’autres….
Il semble que le 6 janvier, les Romains de l’Antiquité dégustaient eux aussi une galette dans laquelle était glissée une fève. Dans le cadre des Saturnales, grandes réjouissances dédiées au dieu Saturne et à la liberté, qui se déroulaient chaque année entre la mi-décembre et début janvier, une tradition voulait que les rôles soient inversés entre les maîtres et les esclaves, et que ce soit l’un d’eux qui deviennent « roi d’un jour ». Le partage de la galette entre eux permettait précisément de désigner lequel !

 

La galette des Rois : pour fêter le retour de la Lumière

 

Pourquoi le 6 janvier et pourquoi une galette ?
L’explication est à chercher du côté du cycle des jours et des nuits. Le solstice d’hiver, qui marque la nuit la plus longue, a lieu le 22 décembre. À partir de ce moment-là, les jours rallongent peu à peu, mais si lentement que c’est presque imperceptible. Le 6 janvier, en revanche, ils commencent à s’allonger de manière plus sensible. C’est la fin d’un cycle - l’hiver - et le début d’un autre : celui du retour à la lumière.
Quant à la galette, quelle qu’en soit la recette, purée d’amandes, pommes ou raisins secs…, elle présente toujours deux mêmes caractéristiques : sa forme ronde et sa couleur dorée, qui symbolisent, précisément, le soleil.
Depuis, eh bien on « tire les rois », en partageant la galette en autant de portions qu’il y a de gourmands autour de la table. Plus une dans certaines régions : cette tranche supplémentaire, appelée parfois "part du Bon Dieu", à l’époque destinée au premier pauvre qui se présenterait, est aujourd’hui réservée pour un éventuel visiteur imprévu.
Et voilà comment, une fois encore, origines païennes et chrétiennes se sont étroitement mêlées pour perpétuer à travers les siècles certains rituels !

 

Photo Geralt, pour Pixabay

Les Rois mages et la fée Befana

 

Connaissez-vous la fée Befana ? Elle serait elle aussi une  lointaine descendante d’une figure traditionnelle des fêtes romaines.
Souvent représentée comme une vieille dame aux allures de sorcière, sa bienveillance à l’égard des enfants qui ont été sages est cependant totale.
Une légende raconte que les Rois mages, alors en route pour Bethléem, ont  croisé la vieille dame et lui ont demandé leur chemin. Mieux : ils lui ont proposé de les accompagner. À peine avait-elle refusé que Befana le regretta. Elle prépara aussitôt un panier rempli de fruits secs, de gâteaux et autres friandises, et partit rapidement à leur recherche. Mais trop tard : impossible de retrouver, et donc de rejoindre leur caravane. Elle offrit alors tous les petits gâteaux de son panier aux fillettes et aux jeunes garçons qu’elle croisa en rentrant chez elle. Et c’est depuis ce jour-là, dit-on, qu’elle distribue chaque année, dans la nuit du 5 au 6 janvier, des biscuits aux enfants sages.
Les gourmands aimeront savoir  - ou savent déjà  - qu’en souvenir de toute cette histoire, les Italiennes préparent pour le 6 janvier de jolis biscuits en son honneur :  les « Befaninis ».
Avec une tasse de bon thé ou un excellent café, « Befaninis » ou galette des Rois, voilà, pour bien commencer l’année, autant d’autres petits moments de fête en perspective. À partager, en bonne compagnie, dans la joie et la bonne humeur, il va de soi !
Plus une minute à perdre pour que la Galette des Rois soit prête le 6.... Voici deux belles recettes très gourmandes trouvées dans la blogsphère, la deuxième sans gluten et sans lait, pour que tout le monde puisse se régaler !
Une variante encore, pour celles et ceux qui décidément raffolent du chocolat en toutes circonstances...laugh

(Article republié)

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Et puis, pour bien commencer l'année et garder le sourire quoi qu'il arrive, jetez aussi un oeil ici ...wink

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TRADITIONS DE NOËL

16 Décembre 2021 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Gourmandises..., #Sans lait ni gluten, #Huiles Essentielles, #Infos sympas, #Autres Plaisirs, #Hiver, #Bonheurs, #Biscuits & Co, #Livres, #Traditions

Sapin, bûche et cadeaux...
Des symboles qui viennent de loin !
 TRADITIONS DE NOËL
Incontournables pour des Fêtes réussies, ils font absolument partie de la tradition. Mais qu’en est-il de l’origine de Noël, du sapin, des cadeaux et de la bûche ?
Il était une fois, il y a fort longtemps … une fête païenne, célébrée de différentes manières selon les endroits, pour accueillir le solstice d’hiver. Dans la Rome antique, par exemple, de grandes réjouissances, les Saturnales, dédiées au dieu Saturne et à la liberté, se déroulaient chaque année entre le 17 et le 24 décembre. L’échange de cadeaux faisait déjà partie de la coutume, mais ce n’est que bien plus tard que la fête païenne qui marquait le solstice est devenue Noël. Il faudra attendre 3 siècles après le début de notre ère pour que Noël soit reconnu comme fête religieuse officielle, commémorant la Nativité, et deux siècles encore pour qu’elle soit généralisée.
D’où viens-tu, roi des forêts ?
Il est temps donc de bientôt célébrer Noël, avec tout ce que cette fête signifie de chaleur, de partage et de convivialité, indépendamment des convictions religieuses de chacun, et de se réunir pour cela autour du fameux sapin. L’arbre de Noël, qui apporte sa petite magie à chaque fin d’année, que ce soit en le décorant ou en l’admirant, semble bien être un mélange de traditions païennes et chrétiennes.
Bien avant le début de notre ère, donc avant la naissance de Jésus-Christ, les Romains décoraient déjà leurs maisons de lierre, de différents feuillages et de branches de houx, à l’occasion des Saturnales, ces grandes fêtes en l’honneur de Saturne, qui se déroulaient entre le 17 et le 24 décembre.
Toujours selon une très ancienne tradition, les peuples nordiques, eux, plantaient un sapin devant leur maison à l’occasion de fêtes très débridées, données en l’honneur de certains dieux. Ces fêtes de Jul, puisque tel était leur nom, se déroulaient aux alentours du solstice d’hiver.
Dans d’autres régions de l’Europe, on décorait les portes et les fenêtres, mais aussi les plafonds et les miroirs de lierre. Par ailleurs, on retrouve chez de nombreux peuples, Celtes en tête, le culte de l’arbre sacré, symbole de l’arbre de vie.
Notre actuel sapin de Noël est certainement le descendant d’un mélange de ces différentes coutumes. Il symbolisait lui aussi l’arbre de vie, et ses premières décorations étaient donc tout naturellement des pommes.
Finalement ce n'est qu’au 18e siècle que l’arbre de Noël fit en tant que tel son entrée dans les églises. Les pommes firent peu à peu place à diverses friandises. Les bougies, initialement au nombre de douze, une par mois, se multiplièrent (et avec elles les risques d’incendie : prudence toujours !). Puis, selon les régions et les modes, les sapins s’ornèrent de figurines en paille ou de boules colorées, de guirlandes, de petits cadeaux à distribuer… bref de toutes les décorations que l’on connaît aujourd’hui.
Vive les cadeaux !
Il est de coutume à Noël d’offrir des cadeaux aux enfants, mais aussi aux membres de sa famille et aux amis. Les enjeux économiques autour d’une telle pratique ne font évidemment que l’encourager ! Mais d’où vient cette tradition, à l’origine charmante ?
Dans le monde chrétien, l’échange de cadeaux à la période de Noël remonte au 13e siècle, et fait semble-t-il référence aux offrandes des bergers et des mages venus saluer l'enfant Jésus.
Le jour choisi pour offrir - et recevoir - les présents varie d’ailleurs considérablement d’un pays, et parfois d’une région à l’autre. Ainsi, même si on évoque surtout la nuit du 24 ou le matin du 25 décembre pour gâter ceux que l’on aime, c’est parfois Saint Nicolas qui apporte les cadeaux, le 6 décembre déjà, ou alors Sainte Lucie le 13. D’autres attendent le jour du Nouvel An, d’autres encore celui des Rois.
Les grands gagnants de toutes ces variantes ?  Incontestablement les enfants italiens dont les parents respectent toutes les traditions : Saint Nicolas (le 6 décembre) ou Sainte Lucie (le 13) distribuent traditionnellement friandises, biscômes ou autres petites attentions. Le 24 ou le 25, toujours très attendu, Babbo Natale, le Père Noël, fait sa tournée, avec des cadeaux plus conséquents. La veille du 6 janvier, c’est la fée Befana qui termine les festivités en passant pendant la nuit déposer bonbons et autres douceurs pour les enfants sages…et, selon la légende, du charbon pour les autres. Histoire sans doute de bien disposer la fée, certains déposent d’ailleurs un fruit à son intention, à côté des chaussettes destinées à recevoir les bonbons !
Les sacrifices, ancêtres des cadeaux ? Qu’elle soit aujourd’hui associée à Saint Nicolas, au Père Noël ou aux Rois mages, la tradition d’échanger des cadeaux en fin d’année trouve ses origines bien avant notre ère.
Ainsi, on retrouve déjà la coutume dans la Rome antique, lors des Saturnales, de grandes réjouissances dédiées au dieu Saturne et à la liberté, qui se déroulaient chaque année entre la mi-décembre et début janvier.
Elle avait d’ailleurs probablement elle-même pour origine les sacrifices offerts aux dieux lors du solstice d’hiver, dans l’espoir d’être protégé des mauvais esprits et d’avoir de bonnes récoltes pendant toute l’année suivante… La tradition des cadeaux de Noël a donc une très longue et très vieille histoire.
Tout comme d'ailleurs un dessert typique...
Quant à la fameuse bûche de Noël, qui ne saurait manquer sur aucune table, elle est elle aussi reliée à un rite païen. Autrefois, pour avoir une bonne récolte l’année suivante, la coutume voulait que l’on place dans l’âtre une très grosse bûche, de préférence d’un tronc d’arbre fruitier, qui se consume le plus lentement possible, l’idéal étant qu’elle puisse durer jusqu’au passage de la nouvelle année. Dans ce but, elle était traditionnellement bénie juste avant l’allumage avec une branche de buis ou de laurier. En région viticole, la bûche était même arrosée de vin, pour assurer de belles vendanges. Comme on lui attribuait des vertus magiques, ses cendres étaient ensuite parfois réparties, pour améliorer les récoltes mais aussi pour protéger la maison et ses habitants.
​​​​​​​(Billet republié et complété)

 

​​​​​​​Si vous avez surtout envie d’une bûche gourmande, et si possible sans lait ni gluten, c'est par ici :

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Mélisse encore : un petit vin sympa

30 Juillet 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Autres Plaisirs, #Bienvenue !, #Bonheurs, #Cool... relax !, #Coups de Coeur, #Dans le jardin, #Été, #Plantes Aromatiques, #Elixirs & Vins

 

Fan de Mélisse ?

 

Encore un petit délice à déguster entre amis !

Mélisse encore : un petit vin sympa
Vite, pendant qu’il en reste dans les jardins, encore un petit délice avec la mélisse !  Dans la série mini-préparation et maxi-plaisir, voici de quoi rafraîchir et enchanter les palais :  un petit Vin de Mélisse on ne peut plus simple et rapide à obtenir, tellement délicieux à partager lors des moments conviviaux…
Vous la trouvez envahissante ? Profitez plutôt de son arôme délicat de toutes les manières possibles ! Comme elle perd beaucoup de son goût et de son charme une fois séchée, c’est maintenant qu’il faut en profiter !
Le mode d’emploi de ce petit vin sans prétention ? Simplissime :
Pour une bouteille de vin blanc, il vous faut un gros bouquet de mélisse fraîche et 1 c. à soupe de sucre brun. À multiplier évidemment par 3,4,5... 
  • Prenez un gros bocal, à la mesure de la quantité de boisson que vous voulez préparer.
  • Versez d’abord le vin blanc (je prends un Muscat de Corse, mais vin doux ou plutôt sec, c’est comme vous préférez)
  • Ajoutez le sucre, blanc ou brun, 1 c. à s. ou plus, selon vos goûts et vos envies. Si vous mettez du sucre, ce qui est facultatif, mélangez bien avec le vin.
  • Glissez ensuite un gros bouquet de mélisse fraîche, grossièrement ciselée.
Il ne reste plus qu’à attendre entre 7 et 10 jours, en secouant régulièrement le bocal.
Filtrez, laissez reposer quelques jours avant de déguster, servez très frais et… bonne soirée 😊!

 

J’aime bien cette préparation, facile à préparer tout au long de la saison puisqu’elle demande peu de temps de macération.

 

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Si vous aussi êtes fan de mélisse, retrouvez-là tout au long de ce blog : eau de mélisse, sirop, gelée, teinture relaxante ou liqueur… à vos cueillettes :
Mélisse encore : un petit vin sympa
Mélisse encore : un petit vin sympa
Mélisse encore : un petit vin sympa

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CITRONS : sur un air de LEMONCELLO...

17 Novembre 2017 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Autres Plaisirs, #Citron, #Coups de Coeur, #Elixirs & Vins, #Epices, #Fêtes, #12 mois par an !, #En cuisine..., #Fruits, #Gourmandises..., #Bonheurs, #Agrumes, #Idées Cadeaux

Comme un petit air de
Lemoncello...
Formidable pour notre santé sous sa forme la plus simple, le citron sait aussi se transformer en petite boisson coquine et délicieuse qui n’a plus grand-chose de sain mais qui procure un plaisir immense ! À déguster avec modération, évidemment, mais surtout à préparer en y mettant tout son cœur…
En guise de mise en route :
- Lavez et brossez 5 citrons non traités (bio)
- Râpez les zestes
- Pressez les jus de 2 citrons
Versez dans un bocal :
- les zestes et le jus des citrons
- 2 bâtons de cannelle coupés en petits morceaux
- 1 g de safran, en filament
Laissez macérer de 5 à 7 jours au frais, et même au frigo.
Puis :
- Filtrez la macération.
- Versez dans une casserole 250 g de sucre et 4,5 dl d’eau.
- Laissez frémir pendant une dizaine de minutes, jusqu’à obtention d’un sirop.
Enfin...
- Laissez ce dernier refroidir, puis mélangez le sirop, un litre d’alcool à 60° (voir ci-dessous) et le jus de citron.
- Mettez en bouteille et conservez au frais et à l’abri de la lumière.
Le plus dur reste à faire… attendez encore 3 semaines avant de déguster.
Rien ne vous empêche, en revanche, de l’offrir avant : un joli cadeau qui saura se faire apprécier !
Accompagné de Cantuccini, ces fameux croquants aux amandes, ce n’est vraiment que du bonheur. Délicieux aussi en guise de long drink, avec une eau tonique pétillante par dessus... Attention tout de même à ne pas en abuser !
CITRONS : sur un air de LEMONCELLO...CITRONS : sur un air de LEMONCELLO...CITRONS : sur un air de LEMONCELLO...

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Comment obtenir de l’alcool à 60°?
Achetez une bouteille d'alcool à 96° (en grande surface) et rajoutez 6 dl d'eau distillée. Mélangez bien.
Quant à savoir quel est le calcul à faire pour réduire les degrés d'alcool , on vous disait tout dans ce billet :

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SOURIRE, SOURIRES...

2 Janvier 2017 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Autres Plaisirs, #Bien-être, #Bonheurs, #Coups de Coeur, #Cool... relax !, #Forme, #Garder la forme, #Tonus, #Zen, #12 mois par an !, #Infos sympas

 Au rayon des très bonnes résolutions...
Cette Année, c'est décidé,
je (me) souris !

Certains mettent des smileys partout et… ils ont bien raison ! Savez-vous que le seul fait de voir, mieux encore de regarder un sourire augmente notre énergie ?

Par conséquent, pour vivre plus heureux, souriez plus souvent ! C’est bon pour le moral, pour la santé et même pour la beauté du visage ! En plus, le sourire est contagieux : même si on s’est levé du mauvais pied, il suffit qu’un inconnu nous sourie dans la rue, et hop, l’envie d’être heureux revient au galop.

Quel plaisir d’en donner, d’en partager, mais aussi d’en recevoir ! Le vrai sourire a des pouvoirs fabuleux : faites circuler sans compter… sans vous oublier pour autant.

Le sourire du cœur

Dans l’Antiquité, les maîtres taoïstes enseignaient que le sourire intérieur, le sourire envers soi-même, procure l’harmonie intérieure, qu’il est source à la fois de santé et de bonheur. Vous en doutez ? Essayez ! Voici cette ancienne et très belle pratique telle que Mantak Chia (voir à la fin) nous l’a transmise :

Installez-vous confortablement, en position assise, les yeux fermés, et détendez-vous. Sentez vos yeux émettre un sourire radieux, magnifique.

Cette simple détente contribue déjà calmer tout le système nerveux.

Invitez ce sourire intérieurement, laissez-le venir et rayonner. Lorsque vous sentez qu’il est là, imaginez qu’il se déverse en pluie depuis vos yeux, et faites-le descendre dans vos organes vitaux.
Répandez ce sourire dans le visage, et laissez-le entrer dans vos mâchoires.

Beaucoup de tensions s’accumulent dans les mâchoires, et une fois que le sourire s’y sera répandu, vous sentirez ces tensions se relâcher.

Déversez-le dans le palais, partout à l’intérieur de la bouche, sans oublier la langue, puis sur la nuque et dans la gorge.

La nuque, qui est traversée de nombreux nerfs et de vaisseaux sanguins vitaux, assure la liaison entre le cerveau et le corps. Elle est aussi un grand réservoir de tensions. Détendez donc ses muscles, et laissez le sourire circuler.

On se détend, on se détend...

Dirigez maintenant votre sourire vers le cœur. Sentez son énergie se déverser dans tout votre système circulatoire.

Répandre ce sourire dans votre cœur et remplir ce dernier d’amour favorise une bonne circulation sanguine.

Du cœur, laissez maintenant ce sourire gagner vos poumons : sentez-les se décontracter et respirer avec la plus grande aisance.
Dirigez-le ensuite vers l’abdomen, d’abord dans le côté droit du corps, puis jusqu’aux reins, de part et d’autre de la colonne vertébrale. Laissez-le se répandre dans tout l’abdomen, en passant par la rate et le pancréas, et amenez-le finalement au nombril.

Appréciez au passage la sensation de détente !

Revenez à vos yeux et, comme au début, sentez-les rayonner un superbe sourire.
"Envoyez » maintenant ce sourire dans le milieu du corps... Comment ? C’est tout simple : accumulez de la salive dans la bouche, et avalez-la, en sentant que votre sourire l’accompagne : œsophage, estomac, intestin grêle, gros intestin, rectum.

Avec un peu de pratique, votre digestion en sera facilitée.

Revenez une fois encore à vos yeux, ressentez votre sourire intérieur.
Guidez-le cette fois à l’arrière du corps : colonne vertébrale, chaque vertèbre, les cervicales, les dorsales puis les lombaires l’une après l’autre, le sacrum et le coccyx.

Il est fort possible que vous ressentiez alors chaleur et bien-être.

Pour terminer, ramenez ce sourire au nombril, dans le centre du corps.

Cette puissante pratique ne demande que quelques minutes, soit bien moins de temps qu’il n’en faut pour la lire, et ses bienfaits sont immenses. Indiquée pour améliorer la circulation sanguine, elle agit aussi sur les fonctions digestives, contre les tensions, la nervosité, les peurs et l’anxiété.

Vous avez envie de maintenir et de renforcer votre état de santé, de développer votre aptitude à rester calme et joyeux-joyeuse, et même votre rayonnement ? Vous savez ce qu’il vous reste à faire : 365 jours par an... souriez !

Envie d'en savoir plus ?

Un livre formidable, parmi d'autres de Mantak Chia : Énergie vitale et Autoguérison, éditions Dangles.

 

Bonne Année et plein de sourires à tous !

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Pour l’amour de nos hommes (et de leur peau…)

26 Août 2016 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Plantes Aromatiques, #Autres Plaisirs, #Parfums & Co, #Beaute, #Lavande, #Menthe, #Verveine, #Pour Eux, #Produits "maison" et naturels, #Idées cadeaux, #Été, #Automne, #Bien-être

 

Pour l'Amour de nos Hommes

 

(et de leur peau...)

Chez certains, rien n’est plus sexy qu’une barbe de trois jours. Mais chez tous… quelle douceur quand ils viennent juste de se raser !

Pour eux, voici une lotion after-shave « maison », à préparer pendant que, côté aromatiques, votre jardin est encore généreux :

- Dans un demi-litre d’alcool à 70°, mettez deux grosses poignées de feuilles de menthe.

- Le lendemain, ajoutez sarriette, verveine, et feuilles de cassis, à raison de 2 grosses poignées chacune.

- Laissez macérer, selon votre envie, 24 heures et 3 semaines, puis filtrez.

- Humez, évaluez… et ajoutez, si vous le désirez, quelques gouttes d’huile essentielle de lavande.

Une variante très agréable aussi : sarriette et feuilles de cassis toujours, mais aussi romarin et fleurs de lavande.

Mon chéri, mon frère, mon père lorsqu'il était encore là… ils y ont tous eu droit, à chacun sa lotion ! À vous de jouer et de créer les vôtres pour les hommes de votre vie !

Des idées, des recettes, des suggestions, y compris d'eaux parfumées, pour eux et pour vous ? Jetez un coup d'oeil à la page "Livres"...

Et encore…

Et à propos de senteurs, récoltez les pétales de roses de votre jardin : je vous propose bientôt une merveilleuse eau, à porter cette fois au féminin.

À suivre...

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Verveine en folie !

19 Août 2016 Publié dans #Éte, #Plantes Aromatiques, #Gourmandises..., #Verveine, #Sans lait ni gluten, #Dans le jardin, #En cuisine..., #La Ligne !, #Parfums & Co, #Autres Plaisirs, #Dessert & Douceur

 

Verveine en folie

 

Un coeur à prendre ou à offrir ?

Verveine en folie !

Vous avez l'impression d'avoir épuisé vos idées de dessert pour un soir d'été ? Parions que non ! À multiplier par deux, par quatre, par six… par autant que vous voulez, le cœur à la verveine se décline aussi bien en flan qu’en crème. Un délice à partager avec ceux que vous aimez… même s’ils sont allergiques au lait ou au gluten !

Comment le réaliser vite fait bien fait ? C’est archi-simple :

- Faites chauffer un demi-litre de lait de riz.

- Mettez dans la casserole une grosse poignée de feuilles de verveine citronnée (à doser selon l’intensité recherchée), laissez infuser une vingtaine de minutes.

- Retirez la verveine, puis portez la préparation à ébullition en ajoutant de l’agar-agar, et en remuant constamment.

- Retirez du feu, ajoutez - ou non - du sucre, laissez refroidir et hop, au réfrigérateur !

Que vous la préfériez en crème ou en flan

 

... laissez-vous tenter !

À vous d’adapter cette « recette » au feeling…

Quelques indications pour vous y aider ?

- Les quantités sont prévues ici pour 4 personnes.

- Je mets un sachet de agar-agar pour un flan très ferme, et un demi sachet pour une crème.

- À la place du lait de riz, vous pouvez aussi prendre du lait d’amande : la sensation finale est moins fraîche, moins légère, mais certain(e)s trouveront peut-être plus onctueux. Faut-il le préciser... la même recette peut aussi être réalisée avec du lait de vache !

Enfin, entre délicieux sirop verveine-menthe "maison" et infusion diurétique, rafraîchissante et calmante, à déguster chaude ou glacée, profitez de la verveine citronnée pendant que vous en avez encore sous la main. Et surtout, n’oubliez pas lorsque le moment sera venu de la récolter et de la faire sécher.

Et côté beauté ?
Recouvrez une poignée de verveine citronnelle fraîche d'eau bouillante, laissez infuser entre 20 et 30 minutes, filtrez  :  voilà une lotion toute douce pour les peaux grasses et pour celles qui souffrent d'acné !

Si vous êtes franchement dingue de la verveine, de son côté

à la fois rafraîchissant et pétillant, jetez un oeil par là...

Verveine en folie !Verveine en folie !Verveine en folie !
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