Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
www.lesjardinsdalice.ch

gourmandises...

Courge : Chutney & Co

11 Novembre 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Automne, #Hiver, #Dans le jardin, #Forme, #Garder la forme, #En cuisine..., #Gourmandises..., #Légumes, #Tonus, #Sans lait ni gluten, #Épices, #Recettes, #Dans le verger

 

Mettez du peps dans vos assiettes

 

Vive la Courge !

Courge : Chutney & Co

L’un des grands plaisirs de l’automne, quelles que soient leurs formes, leurs tailles ou leurs différentes espèces, c’est bien sûr les courges ! Elles enchantent le regard et le palais, aussi bien en version sucrée que salée. Et si on jouait sur les deux tableaux à la fois, pour une préparation peut-être inattendue mais ô combien délicieuse ? Laissez-vous tenter par le Chutney de Citrouille 

Même si la courge est surtout réputée, côté bien-être, pour les qualités de ses graines, elle mérite aussi, dans toutes ses déclinaisons, d’être appréciée pour sa chair.
Comme tous les légumes de couleur orange, la courge est très riche en bêta-carotène, qui est la forme végétale de la vitamine A. En fait, plus la chair a une teinte soutenue, plus sa teneur en cette précieuse vitamine est élevée. Elle est également une très bonne source de vitamines C, D et E. Et ce n’est pas tout…
Une portion de courge est pauvre en calorie (28 Kcal seulement pour 120 g de citrouille), mais riche en vitamines et en minéraux, particulièrement en potassium, en calcium et en zinc.
Côté santé toujours, certaines variétés sont particulièrement diurétiques et toniques pour la vésicule biliaire.
Très riche en fibres, la courge aide à prévenir la constipation.
Paradoxalement, elle est aussi indiquée en cas de diarrhée : consommez alors sa pulpe, préalablement cuite dans un litre d’eau.
La courge est aussi l’alliée des femmes enceintes : si vous souffrez de nausées pendant la grossesse, à vous la purée ou la compote de courge, à raison de 2 portions par jour !
Elle semble encore avoir une action bénéfique sur le cholestérol, la tension artérielle, et contribue à lutter contre le vieillissement prématuré.
Soyons gourmand…
C’est bien sûr la cuisson au four ou à la vapeur qui préservera le mieux leur richesse en vitamines et en minéraux.
Dégustez les courges en potages, en purées, mais aussi en légumes : délicieux avec un filet d’huile d’olive et quelques olives noires !  Gratins, lasagnes - la courge remplaçant la pasta ou… la viande -, elles se prêtent à de nombreuses fantaisies. Sans oublier, évidemment, les plus classiques et fameuses tartes à la courge, dans toutes leurs variétés, et même les crèmes et gâteaux sans gluten !
Sans oublier une petite fantaisie à adapter comme bon vous semblera…
Chutney de Citrouille

 

  • Pour 1 kg 700 de courge parée et coupées en petits morceaux, ajoutez :
  • 2 gros oignons blancs émincés
  • 2 gros oignons rouges émincés
  • 6 gousses d’ail coupées en petits morceaux
  • 8 à 10 cm de gingembre en petits morceaux
  • 4,5 dl de vinaigre blanc
  • 2 poignées de raisins secs
  • 16 à 17 clous de girofle
  • 2 c. à c. de carvi
  • 1 grosse c. à c. de gros sel
  • 170 g de sucre brun
  • 15 tours de poivrier
  • 1 c. à soupe de cardamome moulue
Portez le tout à ébullition, puis laissez cuire à feu moyen 30 minutes environ (sans quitter des yeux et en remuant souvent 😉 ).

 

Résultat : 8 pots moyens d’un délicieux chutney de courge, à apprécier avec un plat de fromage, de la raclette par exemple, mais aussi un filet de volaille ou de la viande blanche, ou comme il vous plaira !
Bon à savoir…
Si vous n’avez rien d’autres sous la main et que vous vous brûlez… en cuisinant par exemple, utilisez la courge en cataplasme. Vous ne serez pas les premiers : les Mayas appliquaient sa chair sur les brûlures !

 

(Article republié)

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Courge : Chutney & Co
Courge : Chutney & Co
Courge : Chutney & Co

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Une autre recette de courge et bien plus encore, autour la diététique de saison, proposée par un praticien de Médecine Traditionnelle Chinoise, c'est par là :

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

Tomates vertes : dégustez-les en confiture !

5 Novembre 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Été, #Automne, #Confitures, #Dans le jardin, #En cuisine..., #Fruits, #Gastronomie sauvage, #Gourmandises..., #Plantes

 

Tomates Vertes ou pas mûres ?

 

Tentez la confiture ! 

Tomates vertes : dégustez-les en confiture !
Confiture de tomates vertes : le nom m’a toujours amusée et l’idée intriguée…. Je m’étais donc promise de m’y intéresser une fois de plus près. À la faveur d’une fin de récolte certes nombreuse mais peu rougissante, voilà qui est chose faite !
Une question a longtemps subsisté : les tomates qui n’ont pas mûri conviennent-elles pour réaliser cette confiture ou faut-il une variété particulière, par exemple la Green Zerba ? En fait c’est égal : les unes et les autres se prêtent fort bien à la réalisation de différentes préparations. L’autre jour, j’ai donc choisi d’essayer cette fameuse confiture.
Si cela vous tente aussi…
  • Déposez dans une grande casserole 1 kg de tomates vertes, essuyées et coupées en très fines lamelles.
  • Ajoutez l’écorce et le jus de deux citrons (bio évidemment), un bon morceau de  gingembre (bio aussi) coupé en petits morceaux, et une gousse de vanille fendue et dont vous aurez pris soin de répartir les graines partout dans la casserole.
  • Versez 700 g de sucre, mélangez bien le tout.
  • Portez à ébullition puis maintenez la cuisson pendant environ 35 minutes.
La confiture est prête quand on ne distingue plus trop les morceaux. On peut aussi faire le test de la goutte qui fige sur l’assiette froide. Il ne reste alors plus qu’à mettre en pots !
Résultat ? Assez surprenant, mais plutôt sympa ! Délicieux sur un pain croustillant, ou alors avec un fromage frais de chèvre ou de brebis 😋! Une prochaine fois, j’en resterai au gingembre et au citron en guise d’assaisonnement, avec peut-être juste un tour de poivre.
Attention : les tomates vertes contiennent de la solanine, une substance toxique susceptible de provoquer différents troubles et de mettre la santé en danger si elle est consommée en excès. Il n’y a cependant en principe pas de souci avec les préparations comme le chutney ou la confiture, dont la consommation reste modérée.

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Tomates vertes : dégustez-les en confiture !
Tomates vertes : dégustez-les en confiture !
Tomates vertes : dégustez-les en confiture !
Tomates vertes : dégustez-les en confiture !
Tomates vertes : dégustez-les en confiture !

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Les confitures, c'est bien joli, mais par les froids qui viennent, il faut aussi penser à garder la forme ! Ce Blog déborde de suggestions pour ça, en voici quelques unes...

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

Cynorhodons : c'est la saison !

22 Octobre 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Gourmandises..., #En cuisine..., #Dans le jardin, #Dans la forêt, #Coups de Coeur, #Fruits, #Fêtes, #Automne, #Hiver, #Plantes, #Idées Cadeaux, #Livres

 

Cynorhodons confits...

 

Version bonbons !

Cynorhodons : c'est la saison !
Particulièrement riches en vitamine C, les baies de cynorhodons sont à l’origine d’un sirop dont la réputation n’est plus à faire pour bien traverser les mois en « r ». Aujourd’hui, partons les déguster dans une tout autre version, placée sous le signe de la gourmandise et du plaisir…
Infusion de cynorhodons avec ou sans tranche d’orange, limonade, confiture et gelée, purée ou même, dans certains pays, soupe… le petit fruit de l’églantier sauvage (Rosa canina) comme celui des jardins (Rosa rugosa) sait se faire apprécier sous différentes formes. Traditionnellement récolté après les premières gelées mais très souvent également avant, avec un peu de fantaisie, celui que l'on appelle aussi "gratte-cul" n’hésite pas à se mettre en habits de fête !
Que diriez-vous par exemple de vous lancer dans la préparation de cynorhodons confits ?
  • Pour commencer, récoltez des cynorhodons (*) et placez-les un moment au congélateur : cela facilitera la suite…
  • Coupez-les ensuite par la moitié, et à l’aide d’une petite cuillère retirez tous les poils (très important pour ne pas avoir de mauvaises surprises...) et les graines.
  • À partir de là, réunissez 250 g de cynorhodons ainsi préparés, 295 g de sucre et 150 ml d’eau.
Il faut aussi un peu de patience, car la recette s’étale sur 8 jours…🌺
La recette
🌺 Le premier jour, faites fondre 125 g de sucre dans l’eau, laissez frémir jusqu’à épaississement. Retirez du feu, ajoutez les fruits, couvrez et laissez macérer 24 heures.
🌺 Le lendemain, sortez les cynorhodons du sirop, réservez-les. Ajoutez 30 g de sucre au sirop, chauffez et laissez frémir une minute.  Retirez la casserole du feu, remettez les fruits dans le sirop, couvez et laissez à nouveau macérer 24 heures.
🌺 Les 3 jours qui suivent, répétez exactement les mêmes opérations.
🌺 Le sixième jour, tout pareil, mais en ajoutant cette fois 50 g de sucre (plutôt que 30) et en laissant macérer deux jours.
🌺 Le dernier jour, égouttez les baies et disposez-les sur une plaque préalablement recouverte de papier sulfurisé. Glissez la plaque dans le four à 50° C pour une période de 10 à 30 minutes (à surveiller), le temps que tout éventuel reste de liquide s’évapore.
🌺 Le moment est alors venu de récompenser votre patience… mais avec modération !
🌺 Conservez ensuite ces jolies petites baies confites au réfrigérateur.
🌺 (*) Le conseil de Michaël Berthoud, à qui l’on doit cette délicieuse idée : choisir au moment de la cueillette des cynorhodons de la variété Rosa rugosa, celle que l’on trouve dans les jardins, qui seront bien plus gros que ceux des églantiers sauvages.
 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Michaël Berthoud, cueilleur émerveillé et passionné, organise des sorties sur le terrain et des ateliers. En environnementaliste généreux, il anime également un beau site tout entier consacré à la nature et aux différents usages des belles indigènes.
Il est l’auteur de 54 plantes sauvages et comestibles de Suisse romande et de France voisine, paru aux éditions Attinger. Magnifique, tant dans sa présentation que dans son contenu, cet ouvrage très complet ravira les amateurs de cueillette : en plus des descriptions et informations botaniques, il explique comment conserver les plantes sauvages (dans l’huile, dans le sel, dans le sucre…) et bien sûr comment les cuisiner, avec un choix de recettes tout à fait appétissant ! À vous procurer dans toutes les bonnes librairies indépendantes, ou alors directement auprès de l’auteur, par exemple sur son site : 
Cynorhodons : c'est la saison !
Cynorhodons : c'est la saison !
Cynorhodons : c'est la saison !
Les photos sont de Michaël Berthoud

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....

17 Septembre 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice. Invitée : Françoise Marmy Publié dans #Été, #Automne, #Cueillette Sauvage, #En cuisine..., #Confitures, #Gastronomie sauvage, #Fruits, #Dans le jardin, #Gourmandises...

 

Confiture de Cornouilles

 

C’est de saison et tellement bon… !

Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....
Aujourd’hui, je vous laisse avec notre invitée : l’idée, la recette et les photos, tout est signé Françoise Marmy. Et je ne vous dis qu’une chose : vous allez vous régaler…

 

Les cornouillers (Cornus mas) se trouvent à l’état sauvage dans des endroits plutôt ensoleillées, dans le bas Valais ou au pied du Jura par exemple. On en voit souvent plantés en bord d’autoroutes, dans des haies, en ville, dans des parcs et des jardins. L’idéal, si on en a la possibilité, c’est d’en planter chez soi ! Il est le premier à fleurir à la sortie de l’hiver, et en plus d’être décoratif il est très mellifère. Que des bons points !

 

Si vous avez la chance d'avoir du terrain et que vous souhaitez l'arboriser, je ne peux donc que  vous recommander le cornouiller mâle (à ne pas confondre avec le cornouiller sanguin) à la place du forsythia qui, lui, n’est pas de chez nous.
Le cornouiller lorsqu'il est en fleurs, juste au sortir de l'hiver...Le cornouiller lorsqu'il est en fleurs, juste au sortir de l'hiver...

Le cornouiller lorsqu'il est en fleurs, juste au sortir de l'hiver...

Et maintenant en fruits, à l'origine d'une bien délicieuse confiture !

Et maintenant en fruits, à l'origine d'une bien délicieuse confiture !

​​​​​​Place maintenant à la cueillette, puis à la préparation de cette délicieuse confiture ! 
Cueillez les cornouilles bien mûres, soit en les ramassant par terre après avoir légèrement secoué les branches, soit en passant la main dans les branches pour laisser tomber celles qui se détachent facilement.
Une fois de retour... en cuisine !
  • Mettez les cornouilles dans une casserole et recouvrez d’eau.
  • Faites-les cuire jusqu’à ce qu’elles deviennent molles : c’est très rapide, si elles sont bien mûres 2 à 3 minutes suffisent.
  • Retirez la casserole du feu et écrasez les cornouilles avec un presse-purée.
  • Passez-les au passe-vite pour extraire la pulpe et séparer les noyaux. Pour cette opération il faut utiliser un passe-vite en inox assez costaud avec la grille à gros trous.
  • Pesez la purée de cornouilles et ajoutez la moitié du poids en sucre.
  • Pour assurer la consistance, vous pouvez ajouter une cuillère à soupe de pectine de pommes (j’utilise l’Unigel, que j’achète en magasin bio).
  • Laissez cuire 5 à 10 minutes puis remplissez des bocaux stérilisés jusqu’en haut.
  • Une fois bien fermés, retournez les pots pendant 2 minutes.
Et pour la suite, à quel moment, sur quel pain, avec qui partager...  libre à vous d'improviser !

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo
Miam... de quoi se régaler, je vous l’avais dit laugh! Je reprends la plume, ou plutôt le clavier, le temps de signaler, toujours avec Françoise Marmy, quelques journées incontournables si vous aimez les plantes sauvages. Tous les détails sont par ici :

(Article modifié et republié)

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....
Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....
Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....
Cornouilles : la délicieuse saison des confitures sauvages....

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

ROSE TRÉMIÈRE, le charme absolu

10 Septembre 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Beaute, #Bien-être, #En cuisine..., #Produits "maison" et naturels, #Fleurs, #Gourmandises..., #Peau (Soins de la), #Plantes, #Soins du corps, #Visage, #Automne, #Bobologie, #Bains, #Dans le jardin, #Été, #Dessert & Douceur

 

Rose Trémière

 

 

Le charme absolu !

ROSE TRÉMIÈRE, le charme absolu
Belle et grande dame des jardins un peu sauvages et autres endroits parfois improbables, la rose trémière a déployé ses charmes tout l’été. Si vous avez la  chance d’en avoir à portée du regard, il ne tient qu’à vous de vous laisser enchanter encore plus longtemps…
La substance qui leur donne leurs magnifiques teintes servait autrefois à colorer le vin et parfois aussi les tissus. Fuchsias, mauves ou blanches, les roses trémières se plaisent en bordures des jardins mais aussi le long du chemin. 
Leurs fleurs, simples ou doubles, en plus d’être splendides, sont riches en mucilage, et recèlent des qualités proches de celles de la guimauve. Comme les mauves ou encore les hibiscus, elles font d’ailleurs toutes partie de la très grande famille des Malvacées.
Côté bien-être, on apprécie leurs propriétés adoucissantes et anti-inflammatoires autant pour soulager les muqueuses que pour calmer les peaux irritées.
Pour bénéficier au mieux des qualités de la rose trémière (Alcea rosea) même lorsqu’elle ne sera plus du tout de saison, s'il vous en reste, plus une minute à perdre... récoltez les fleurs entières et faites-les sécher, à plat, dans un endroit sombre et chaud.
Elles vous aideront ensuite à soulager toux, rhume et bronchite :
  • Versez une grosse tasse d’eau bouillante sur 2 cuillerées à café de fleurs séchées et hachées. Laissez infuser 10 minutes, puis filtrez. Sucrez avec un peu de miel, et buvez 3 tasses par jour.
 Si vous avez mal à la gorge, utilisez la même infusion en gargarisme ou en bain de bouche.
Associée à d’autres plantes, camomille et racine de tormentille notamment, la rose trémière aide également à calmer certaines douleurs intestinales.

Côté Beauté

 

La rose trémière est aussi l'alliée de votre peau et de votre beauté. Votre peau vous démange, vous avez des irritations cutanées ?
  • Versez une grosse tasse d’eau bouillante sur 2 cuillerées à café de fleurs séchées et hachées de rose trémière, laissez infuser 10 minutes, puis filtrez.
  • Laissez tiédir, trempez une compresse et appliquez sur l’endroit douloureux.
Pensez aussi à cette belle dame pour un bain de beauté, aux vertus à la fois apaisantes et hydratantes :
  • Ajoutez simplement une poignée de fleurs à l’eau de votre bain !

Gourmand et amusant

 

Ravissantes au naturel, les roses trémières savent aussi se faire coquettes dans l’assiette : une fois leur pédoncule retiré, vous pouvez en garnir vos salades et vos tartes ou encore les cristalliser. Comment ? Rien de plus simple :
  • Remplissez d’abord une assiette de sucre fin, puis battez un blanc d’œuf en neige. Avec un pinceau, enduisez ensuite les roses trémières (préalablement débarrassées de leur pédoncule) du blanc d’œuf battu, puis recouvrez-les de sucre.
  •  Recouvrez une plaque à gâteau de papier sulfurisé, déposez-y les fleurs, et glissez au four, à 80° : laissez la porte ouverte, et retirez dès que la confiserie semble prête.

(Article republié)

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Et si vous aimez les recettes bien-être et/ou beauté au naturel, ou les plantes tout simplement... jetez aussi un coup d'oeil par là : http://www.lesjardinsdalice.ch/livres.html
Althéa, rose trémière et mauve... trois superbes représentantes de la famille des Malvacées !
Althéa, rose trémière et mauve... trois superbes représentantes de la famille des Malvacées !
Althéa, rose trémière et mauve... trois superbes représentantes de la famille des Malvacées !

Althéa, rose trémière et mauve... trois superbes représentantes de la famille des Malvacées !

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?

27 Août 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Bien-être, #Boissons sages, #Cool... relax !, #Coups de Coeur, #Dans le jardin, #En cuisine..., #Été, #Plantes, #Plantes Aromatiques, #Sans lait ni gluten, #Sirops, #Gourmandises..., #Automne

 

Verveine en folie (bis)

 

En sirop ou en cœur ?

Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?
Saviez-vous que la verveine citronnelle aurait le pouvoir de nous aider à nous rappeler de nos rêves ? Et même parfois à nous donner des rêves prémonitoires ? Si cela vous dit, mais surtout pour le plaisir de se rafraîchir délicieusement et aussi de se détendre, voici une première suggestion…
Le sirop de verveine citronnelle

 

Cette belle dame est relaxante, fortifiante et apéritive. J’en raffole sous de nombreuses formes, et le sirop n’est pas la moindre…
Pour le préparer :
  • Portez à ébullition un demi- litre d’eau et 500 g de sucre.
  • Maintenez un petit quart d’heure, éteignez et retirez de la plaque.
  • Ajoutez 4 ou 5 branches de verveine citronnée, et laissez infuser toute la nuit.
  • Le lendemain, filtrez, mettez en bouteille… oui, c’est tout !

Dessert coup de cœur !

Comment transformer vite fait bien fait votre passion pour la verveine en un irrésistible dessert ? C’est archi-simple ! En plus, le cœur à la verveine se décline aussi bien en flan qu’en crème. Un délice sans lait et sans gluten à partager avec ceux que vous aimez !

 

👀 Faites chauffer un demi-litre de lait de riz.
👀 Mettez dans la casserole une grosse poignée de feuilles de verveine citronnée (à doser selon l’intensité recherchée), laissez infuser une vingtaine de minutes.
👀 Retirez la verveine, puis portez la préparation à ébullition en ajoutant de l’agar-agar, et en remuant constamment.
👀 Retirez du feu, ajoutez - ou non - du sucre, laissez refroidir et hop, au réfrigérateur !
Que vous la préfériez en crème ou en flan ... laissez-vous tenter !
Quelques indications pour vous aider à adapter ce dessert à votre goût ?
🌿 Les quantités sont prévues ici pour 4 personnes. À multiplier par autant de petits et grands gourmands que vous voulez !
🌿 Je mets un sachet d'agar-agar pour un flan très ferme, et un demi-sachet pour une crème.
🌿 À la place du lait de riz, vous pouvez bien sûr prendre du lait de noisette ou d’amande : la sensation finale est moins fraîche, moins légère, mais certain(e)s trouveront peut-être plus onctueux. 
Entre infusion diurétique et calmante, à déguster chaude ou glacée, délicieux et rafraichissant sirop de verveine ou mélange verveine-menthe, "maison" toujours, gelée irrévérencieuse, liqueur ou même eau de toilette très très "verte" (oui, toutes les recettes sont sur ce Blog 😉 ),   profitez de la verveine citronnée pendant que vous en avez encore sous la main. Et n’oubliez pas lorsque le moment sera venu de la récolter et de la faire sécher !

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Envie d'une petite variante, un peu moins sage, sur le même thème... ?

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?
Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?
Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?
Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?
Verveine citronnelle : en sirop ou en dessert ?

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

REINE-DES-PRÉ : L’ASPIRINE VÉGÉTALE

26 Juillet 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Bien-être, #En cuisine..., #Lotions & Co, #Dans la forêt, #Dans les champs, #Fleurs, #Gourmandises..., #Soins du corps, #Éte, #Produits "maison" et naturels, #Plantes, #Garder la forme, #Dans le jardin, #Dans le verger, #Cueillette sauvage, #Gastronomie sauvage, #Dans les Jardins Amis, #Dessert & Douceur, #Sans lait ni gluten

Reine-des-Prés...

 

ou des jardins ?

 

REINE-DES-PRÉ : L’ASPIRINE VÉGÉTALE
Fréquente dans les lieux humides, aux abords des ruisseaux, la reine-des-prés se reconnaît facilement par sa grande taille - souvent plus de 1 mètre de hauteur -, ses feuilles très découpées, ses fruits qui sont comme autant de petites boules vertes spiralées, et surtout ses innombrables petites fleurs crème qui embaument l’air les soirs d’été. Pas étonnant qu’elle soit aussi souvent invitée dans les jardins…
Si on l’appelle parfois « aspirine sauvage », ce n’est pas pour rien : ses fleurs et ses feuilles, qui dégagent lorsqu’on les froisse une forte odeur un peu pharmaceutique, possèdent d’exceptionnelles qualités anti-inflammatoires, anti-rhumatismales, fébrifuges et anti-douleurs.
Selon l’antique médecine des signatures, selon laquelle la plante elle-même désigne les maux qu’elle est susceptible de soigner, la reine-des-prés (Filipendula ulmaria), qui pousse près de l’eau, est précisément censée soigner les maux liés à l’humidité, comme les refroidissements ou certaines douleurs articulaires…
Ses propriétés son attribuées à des dérivés salicylés, voisins de ceux qui agissent dans l’aspirine. Pour la petite histoire, cette dernière est d’ailleurs ainsi nommée
d’après l’ancien nom botanique de la reine-des-prés, la spirée (Spiraea ulmaria).
Revenons à notre élégante fleur et à ses qualités fort appréciables dans de nombreuses situations, et notamment pour les personnes qui souffrent de rhumatismes.
  • Préparez une infusion de reine-des-prés, et appliquez les fleurs encore chaudes en cataplasme sur les régions à apaiser.
La reine-des-prés contribue à faire baisser le taux d’acidité dans l’organisme, ce qui contribue à soulager, entre autres, les problèmes articulaires. Pour en profiter doublement :
  • Laissez infuser 1 cuillère à café de fleurs séchées dans un quart de litre d'eau pendant une dizaine de minutes, et buvez jusqu’à 3 tasses de cette tisane par jour.
Utilisez des fleurs séchées depuis moins d’un an.
La reine-des-prés agit également comme un puissant diurétique et un grand draineur, ce qui en fait une excellente alliée pour retrouver rapidement la forme et, si nécessaire, oublier les vôtres… Elle se montre en effet fort efficace contre la rétention d'eau et, du même coup, la cellulite.
  • Buvez pendant 3 semaines, le matin à jeun et le soir avant de vous coucher, une infusion de reine-des-prés préparée comme proposée ci-dessus.
Prudence : renoncez toutefois à cette infusion si vous supportez mal les dérivés salicylés, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez. Idem en cas de « lunes » à tendance hémorragique.
Très intéressante aussi, toujours pour lutter contre la disgracieuse, une huile facile à préparer, juste maintenant :
  • Versez un demi-litre d’huile d’olive sur une grosse poignée de reine-des-prés. Chauffez le mélange au bain-marie pendant 2 heures, laissez reposer une nuit, et filtrez.
  • Le plus important reste à faire : frictionnez chaque jour les zones critiques, matin et soir pour des résultats optimaux. 
Des flans à la reine-des-prés ? Laissez-vous tenter ! 
Et si je passe sans transition des excès de féminité au plaisir des papilles, n’y voyez aucune malice ! Seulement l’expression d’une gourmandise parfaitement justifiée…
 Pour 12 ramequins , il vous faut :
1/2 l de crème liquide de soja
1/2 l de lait de riz
1 c. à café rase d’agar-agar en poudre
1 bouquet de fleurs de reine des prés
3 c. à soupe de miel d’acacia
  • Verser le lait et la crème dans une casserole.
  • Y ajouter le miel d’acacia et l’agar-agar, bien mélanger.
  •  Plonger les fleurs de reine des prés dans le liquide.
  • Porter à ébullition et laisser cuire 2 min.
  • Filtrer et verser dans des ramequins rincés auparavant à l’eau froide.
  • Mettre au frais.
  • Démouler avant de servir et décorer avec des fleurs de saison.
Cette appétissante recette est signée Françoise Marmy, tout comme d’ailleurs les différentes photos. Merci  Françoise ! Et pour en savoir plus sur ses activités, visitez son site : http://www.marmyplantes.com/ (voir aussi dans les Jardins Amis) et n’hésitez pas à la contacter !
Quant à la reine-des-prés, nous y reviendrons très bientôt. À suivre...

(Article republié)

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

 

En attendant, retrouvez plein de recettes beauté mais aussi santé et bien-être, pour toute la famille, de saison et faciles à réaliser. C'est par là : http://www.lesjardinsdalice.ch/livres.html

REINE-DES-PRÉ : L’ASPIRINE VÉGÉTALEREINE-DES-PRÉ : L’ASPIRINE VÉGÉTALEREINE-DES-PRÉ : L’ASPIRINE VÉGÉTALE

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

Taboulé au Romarin et Hydrolats en cuisine

9 Juillet 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #En cuisine..., #Huiles Essentielles, #Garder la forme, #Sans lait ni gluten, #Été, #Automne, #Plantes Aromatiques, #Gourmandises..., #Plantes, #Forme, #Tonus, #Livres

 

Taboulé au Romarin

Taboulé au Romarin et Hydrolats en cuisine

Invitez les hydrolats 

à votre table !

Vous aimez rehausser certains arômes, apporter une touche d’originalité à vos plats, découvrir des saveurs inattendues ou surprendre vos papilles… et celles de vos convives ? Tout cela en vous faisant à la fois plaisir et du bien ? Commencez par réinventer le taboulé et bien plus encore…
Comment faire entrer tout un jardin aromatique dans sa cuisine même lorsque l’on habite en pleine ville ? De la manière la plus gourmande qui soit, en profitant des saveurs mais aussi des bienfaits de 23 hydrolats déclinés en plus d’une trentaine de recettes, simples, colorées et bien sûr… parfumées ! L’invitation est signée Valérie Cupillard, bien connue des gourmands intolérants ou allergiques, et de tous les adeptes de recettes saines, ludiques et délicieuses.  Rien qu’en feuilletant Cuisiner aux hydrolats  on se régale déjà… Envie d’essayer ?  Merci à Valérie qui nous offre cette belle salade d’été 😊 !

Taboulé de millet au romarin

Sous forme d’hydrolat, il est plus facile d’enrober les graines de millet avec les arômes de romarin qu’avec la plante fraîche ciselée.
Préparation : 20 minutes, cuisson : 15 minutes pour le millet et pour les haricots, repos : 10 minutes.
Pour 4 personnes :
100 g de millet décortiqué
Une poignée de haricots verts
2 tomates
2 c. à soupe d’hydrolat de romarin
4 c. à soupe d’huile d’olive
2 c. à soupe de graines de tournesol décortiqué
Sel
  • Faites chauffer 30 cl d’eau dans une petite casserole, Dès qu’elle est bouillante, salez et versez les graines de millet. Laissez cuire sur feu doux et à couvert jusqu’à absorption complète de l’eau (15 minutes environ). Ensuite laissez gonfler 10 minutes hors du feu. Ce temps de repose est important pour obtenir des graines cuites à point.
  • Préparez les haricots verts, coupez-les en tronçons et faites-les cuire à la vapeur une quinzaine de minutes. Pendant ce temps, coupez les tomates en dés.
  • Dans un saladier, émulsionnez vivement l’hydrolat se romarin avec l’huile d’olive à l’aide d’une fourchette. Salez et ajoutez les dés de tomates, remuez de façon à mélanger leur jus avec la sauce.
  • Versez le millet cuit et refroidi dans le saladier, mélangez avec les haricots verts et les graines de tournesol.
Rien ne vous empêche évidemment de préférer, par exemple, la ratatouille confite ou les flans légers à la courgette. Et pour terminer, que diriez-vous d’un sorbet myrtille à la lavande ou d’une panna cotta fruits rouges au géranium ? L’eau à la bouche, je vous l’avais dit…

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Extrait du livre Cuisiner aux hydrolats – Bienfaits & recettes, de Valérie Cupillard, éditions La Plage.
Photos taboulé et couverture : Chloé Sadaa
Pour retrouver Valérie, ses livres, ses bonnes idées et ses recettes, c'est par ici :   
Taboulé au Romarin et Hydrolats en cuisineTaboulé au Romarin et Hydrolats en cuisineTaboulé au Romarin et Hydrolats en cuisine

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Lire la suite

VIN DE LILAS : ENCORE UN PETIT PLAISIR À DÉCOUVRIR

3 Mai 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #En cuisine..., #Elixirs & Vins, #Fleurs, #Gourmandises..., #Gastro sauvage, #Dans le jardin, #Printemps..., #Dans le verger, #Éte, #Produits "maison" et naturels

 

Et pourquoi pas un

 

 

 

Vin de Lilas ?

 

En sirop pour les juniors ou en vin apéritif pour les plus grands, vive le lilas !

En sirop pour les juniors ou en vin apéritif pour les plus grands, vive le lilas !

Mauve, bordeaux ou blanc, le lilas, j’en suis dingue, carrément ! On aime sa beauté, à la fois robuste et si fragile, et son irrésistible senteur, mais connaissez-vous tous les plaisirs qu’il offre bien au-delà de sa floraison ?
Si vous avez la chance, car oui c’en est une, d’avoir un lilas à portée de mains, ne la et ne le laissez pas « passer »…
Côté bien-être, on en fait une huile merveilleuse pour soulager les articulations douloureuses. Côté saveurs, gelée, sucre parfumé au lilas ou sirop aussi surprenant que coloré sont, vous le savez si vous venez régulièrement dans les Jardins d’Alice, quelques-unes des gourmandes manières de l’apprécier.
Sans oublier un vin fleuri, mais oui encore un, pour varier les petits plaisirs entre amis.
Pour 2 bouteilles de Vin de Lilas, de quoi avez-vous besoin ?
-   2 bols de fleurs de lilas, blanches et mauves, ou blanches et bordeaux, ou mélangées, que vous aurez pris soin de détacher une à une de leurs grappes. Il ne doit rien rester de vert : c’est important pour la réussite de ce vin original.
-   240 g de sucre de canne
-   100 g de sucre pour le sirop
-    2 bouteilles de vin blanc léger.
L’idéal est de préparer le vin dans un très gros bocal (3 ou 5 litres), mais vous pouvez aussi diviser les quantités par deux et prévoir deux bocaux de 2 litres.
Ensuite ?
  • Dans un bocal, alternez couches de fleurs et couches de sucre, et laissez reposer au frais pendant 48 heures.

     

  • Ajoutez le vin blanc. Gardez le tout au frais et à l’abri de la lumière pendant 8 jours, en retournant quelquefois le bocal.
  • Filtrez.
  • Versez les 100 g de sucre avec 4 cuillères à soupe d’eau dans une casserole : portez à ébullition, remuez, retirez la casserole du feu, laissez refroidir puis ajoutez au vin. Mélangez bien.
Il ne vous reste plus qu’à mettre en bouteilles et à laisser reposer au frais quelques jours avant de vous réjouir de cet apéritif à servir très frais, lui aussi !
Cette séduisante préparation est tirée de Cuisiner les fleurs du jardin, de Edith Grandjean, paru au printemps passé aux éditions Ulmer. Si vous êtes fan de lilas, vous y trouverez aussi une recette d’un dessert à l’ancienne : la crème au lilas. Et de nombreuses autres idées, toutes plus tentantes les unes que les autres. Laissez-vous charmer !
(Republié)

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Plus autour du lilas ? Pour le sirop c’est ici :

Et pour la gelée, mais aussi pour l’huile qui soulage les articulations, c’est par là :

 

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

VIN DE LILAS : ENCORE UN PETIT PLAISIR À DÉCOUVRIRVIN DE LILAS : ENCORE UN PETIT PLAISIR À DÉCOUVRIRVIN DE LILAS : ENCORE UN PETIT PLAISIR À DÉCOUVRIR
Lire la suite

LILAS : LE PLUS BEAU DES SIROPS !

27 Avril 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #En cuisine..., #Produits "maison" et naturels, #Boissons sages, #Dans les champs, #Fleurs, #Gourmandises..., #Printemps..., #Coups de Coeur, #Dans le jardin, #Sirops, #Gastronomie sauvage

Siroter le Lilas ?

Un plaisir haut en couleur ! 

C'est devenu un "best of" et vous en redemandez chaque année 😉 ! 
Variation sur un thème que j’aime bien : le lilas, son odeur, sa couleur ! Et même son goût, puisqu’il est non seulement comestible mais qu’il parfume bien agréablement différentes préparations. Pendant qu’il est encore en fleurs, faites-en vite un magnifique sirop : parfait pour en prolonger la toujours trop courte saison !
En suivant un peu l’inspiration du moment, voilà celui que j’ai concocté, et comment. Après, à vous bien sûr d’adapter…
  • Cueillez 12 grappes de lilas bordeaux, + 1 petite blanche au parfum irrésistible.
  • De retour à la cuisine, prélevez-en les fleurs seulement (en prévision de vos questions, cette fois j’ai pesé : cela faisait 112 g).
  • Portez à ébullition 8 dl d’eau, et retirez la casserole du feu.
  • Versez les fleurs de lilas dans la casserole, ajoutez un citron bio coupé en morceaux.
  • Retirez le citron après une heure, mais laissez le tout infuser 2 heures.
  • Filtrez, pesez. (chez moi : 750 g)
  • Ajoutez le même poids en sucre (j’ai mis 2/3 de sucre de canne et 1/3 de sucre blanc, juste parce que j’étais à court…)
  • Portez à ébullition et laissez frémir 10 minutes, sans cesser de remuer. Et en bouteilles !
À apprécier en sirop, mais aussi sur un sorbet ou un fromage frais, avec une eau pétillante ou, pourquoi pas, au fond d’une coupe de champagne !

(Billet republié, plusieurs fois, mais comme vous en redemandez ...wink)

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Beaucoup plus sur le lilas, y compris une surprenante gelée et, plus bas. un étonnant Vin de Lilas ? C’est par là…

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

LILAS : LE PLUS BEAU DES SIROPS !LILAS : LE PLUS BEAU DES SIROPS !LILAS : LE PLUS BEAU DES SIROPS !
Lire la suite
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>