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Saint Valentin, entre histoire et légendes

14 Février 2022 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Fêtes, #Infos sympas, #Hiver, #Autres Plaisirs, #Boissons sages, #En cuisine..., #Traditions, #Épices

 

Saint Valentin,
patron des Amoureux mais pas que…
Saint Valentin, entre histoire et légendes
Bientôt la Saint-Valentin... Toujours possible mais, reconnaissons-le, difficile de faire sans fleurs, sans chocolats et sans petit repas romantique aux chandelles, le 14 février ! Cela, on le sait tous (et toutes). Ce que l’on connaît moins, en revanche, c’est l’origine de cette fête. Qui était donc ce fameux Saint Valentin, patron des amoureux, célébré chaque 14 février ? 
Il existe plusieurs légendes qui tournent autour de trois Valentin, tous prêtres au troisième siècle de notre ère. La plus célèbre d’entre elles réunit sans doute un peu des trois histoires…
Tout commence dans la Rome Antique, sous le règne de l’empereur Claude II. Les campagnes militaires font d’énormes ravages, et il devient de plus en plus difficile de recruter des soldats pour rejoindre les légions. Les hommes préfèrent largement rester dans leurs foyers que partir pour les champs de bataille. L’empereur Claude II en déduit que si les Romains refusent d’aller combattre, c’est pour rester auprès de leur femme et de leur famille. Fort de cette conviction, il décide donc purement et simplement d’interdire le mariage ! Fin du premier acte.
Pendant ce temps, et malgré l’interdiction de l’empereur, un prêtre, un certain Valentinus n’en fait, si l’on n’ose dire, que selon son cœur : il encourage les amoureux qui le désirent à venir le trouver discrètement et n’hésite pas à leur donner la bénédiction nuptiale. La suite est hélas facile à deviner… Dès que l’empereur eut connaissance de ces mariages secrets, le généreux prêtre fut arrêté et emprisonné.
Cela pourrait être la fin du deuxième acte, mais selon certaines versions il y a un petit appendice : alors qu’il est en prison et attend son exécution, Valentinus se lie d’amitié avec la fille de son geôlier. Cette dernière était aveugle, et Valentinus, qui avait aussi des dons de guérisseur, lui aurait redonné la vue. Juste avant d’être décapité, le 14 février 270, il lui aurait encore offert une lettre ou des feuilles en forme de cœur avec la seule mention « Ton Valentin ». Tout cela est bien romantique !
Mais ne vous y trompez pas : les véritables raisons qui ont poussé l’Eglise catholique à canoniser Valentin en l’honneur de son sacrifice pour l’amour le sont nettement moins…
Saint Valentin, entre histoire et légendes
 L’objectif : détrôner un rite païen !

 

Notre Valentin est exécuté en 270, et ce n’est que plusieurs siècles plus tard qu’il devient Saint Valentin. Que s’est-il passé entre-temps ? La fin de l’empire romain ! Et avec lui la célébration d’un certain nombre de fêtes païennes, habilement transformées par l’église catholique en fêtes chrétiennes.
Ainsi, le 15 février était autrefois la date des Lupercales romaines : cette fête, en l’honneur de Lupercus, dieu des bergers, et de Junon, déesse et protectrice des femmes, célébrait la fertilité, la fécondité et était marquée par différents rites dont la moralité laissait passablement à désirer. Un exemple ? En plus du vin qui, évidemment, coulait à flots, on plaçait le nom de toutes les jeunes filles dans une urne, et chaque jeune homme tirait le nom de la jeune personne qui lui était assignée pour l’année : une sorte de tombola de l’amour en quelque sorte !
De telles pratiques ne plaisaient, on s’en doute bien, que fort peu à l’église catholique. Pour y remettre bon ordre, le pape Gélase 1er décida en 496 que Valentin, devenu pour la circonstance Saint Valentin, serait le patron des amoureux, et que sa fête serait célébrée le 14 février, ce qui permettait de « remplacer » les Lupercales en tout bien tout honneur.

Pour les amoureux, mais pas que pour eux !

À partir de là, avant de prendre l’envergure bien plus commerciale que romanesque qu’on lui connaît actuellement, la Fête des amoureux se répandit peu à peu, sous différentes formes, avec des pointes de popularité par époques et par régions.
À la fin du Moyen Âge, par exemple, l’aristocratie anglaise a adopté la coutume du Valentinage, dérivée sans doute des Lupercales, mais ô combien plus délicate : pour le temps d’une journée seulement, le jeune couple choisi par le hasard avait carte blanche pour s’adonner à l’art des galanteries tout en se faisant de petits cadeaux. Avec le temps, cette coutume s’est enrichie d’envoi de poèmes, et de mots doux. Ces derniers sont précisément appelés des « valentins », en souvenir du prêtre italien.
L’envoi de ces billets doux est devenu à partir du 18e s. une véritable tradition, en Grande-Bretagne d’abord, puis en Amérique du Nord et peu à peu en Europe aussi.
Vous avez été surpris de recevoir un jour un tendre message d’un(e) ami(e) qui vous souhaitait une bonne Saint Valentin ? Ne vous étonnez plus : il ou elle est sans doute d’origine anglo-saxonne ou américaine ! Qui a dit que la Saint Valentin était seulement la fête des amoureux ? Là-bas, c’est aussi celle de l’amitié, et même les enfants s’envoient des petits billets sympas.
Selon une autre légende, la Saint Valentin trouverait ses origines en Angleterre et en France, et daterait « seulement » du Moyen Âge. Fondée sur la simple observation des oiseaux, dont les amours commencent le 14 février, elle a poétiquement inspiré les hommes, qui trouvèrent la date excellente pour se déclarer…
C’est probablement à cette version-là que l’on doit la coutume, plus répandue aux États-Unis que chez nous, de s’envoyer par courrier des graines à planter !
Choisissez la légende que vous préférez, et dans tous les cas, en Amour ou en Amitié… bonne Saint Valentin !

 

(Republié...toujours d'actualité 😍 )

À déguster entre amoureux ou entre amis, le 14 février ou quand il vous plaira :

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Epiphanie - Vive les Rois !

3 Janvier 2022 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Autres Plaisirs, #Bonheurs, #En cuisine..., #Fêtes, #Gourmandises..., #Hiver, #Infos sympas, #Sans lait ni gluten, #Traditions

 

Allez-vous fêter les Rois ?

 

 

Une galette, une fève et… plusieurs histoires

Epiphanie - Vive les Rois !
Si l’Epiphanie, le 6 janvier, est, tout comme Noël, propice à l’échange de cadeaux, c’est pour rappeler les présents que les Rois mages, venus depuis l’Orient et guidés par une étoile, ont apporté cette nuit-là jusque dans la crèche de Bethléem. Gaspard, Melchior et Balthazar font partie de la version chrétienne de l’histoire de cette fête, mais il y en a d’autres….
Il semble que le 6 janvier, les Romains de l’Antiquité dégustaient eux aussi une galette dans laquelle était glissée une fève. Dans le cadre des Saturnales, grandes réjouissances dédiées au dieu Saturne et à la liberté, qui se déroulaient chaque année entre la mi-décembre et début janvier, une tradition voulait que les rôles soient inversés entre les maîtres et les esclaves, et que ce soit l’un d’eux qui deviennent « roi d’un jour ». Le partage de la galette entre eux permettait précisément de désigner lequel !

 

La galette des Rois : pour fêter le retour de la Lumière

 

Pourquoi le 6 janvier et pourquoi une galette ?
L’explication est à chercher du côté du cycle des jours et des nuits. Le solstice d’hiver, qui marque la nuit la plus longue, a lieu le 22 décembre. À partir de ce moment-là, les jours rallongent peu à peu, mais si lentement que c’est presque imperceptible. Le 6 janvier, en revanche, ils commencent à s’allonger de manière plus sensible. C’est la fin d’un cycle - l’hiver - et le début d’un autre : celui du retour à la lumière.
Quant à la galette, quelle qu’en soit la recette, purée d’amandes, pommes ou raisins secs…, elle présente toujours deux mêmes caractéristiques : sa forme ronde et sa couleur dorée, qui symbolisent, précisément, le soleil.
Depuis, eh bien on « tire les rois », en partageant la galette en autant de portions qu’il y a de gourmands autour de la table. Plus une dans certaines régions : cette tranche supplémentaire, appelée parfois "part du Bon Dieu", à l’époque destinée au premier pauvre qui se présenterait, est aujourd’hui réservée pour un éventuel visiteur imprévu.
Et voilà comment, une fois encore, origines païennes et chrétiennes se sont étroitement mêlées pour perpétuer à travers les siècles certains rituels !

 

Photo Geralt, pour Pixabay

Les Rois mages et la fée Befana

 

Connaissez-vous la fée Befana ? Elle serait elle aussi une  lointaine descendante d’une figure traditionnelle des fêtes romaines.
Souvent représentée comme une vieille dame aux allures de sorcière, sa bienveillance à l’égard des enfants qui ont été sages est cependant totale.
Une légende raconte que les Rois mages, alors en route pour Bethléem, ont  croisé la vieille dame et lui ont demandé leur chemin. Mieux : ils lui ont proposé de les accompagner. À peine avait-elle refusé que Befana le regretta. Elle prépara aussitôt un panier rempli de fruits secs, de gâteaux et autres friandises, et partit rapidement à leur recherche. Mais trop tard : impossible de retrouver, et donc de rejoindre leur caravane. Elle offrit alors tous les petits gâteaux de son panier aux fillettes et aux jeunes garçons qu’elle croisa en rentrant chez elle. Et c’est depuis ce jour-là, dit-on, qu’elle distribue chaque année, dans la nuit du 5 au 6 janvier, des biscuits aux enfants sages.
Les gourmands aimeront savoir  - ou savent déjà  - qu’en souvenir de toute cette histoire, les Italiennes préparent pour le 6 janvier de jolis biscuits en son honneur :  les « Befaninis ».
Avec une tasse de bon thé ou un excellent café, « Befaninis » ou galette des Rois, voilà, pour bien commencer l’année, autant d’autres petits moments de fête en perspective. À partager, en bonne compagnie, dans la joie et la bonne humeur, il va de soi !
Plus une minute à perdre pour que la Galette des Rois soit prête le 6.... Voici deux belles recettes très gourmandes trouvées dans la blogsphère, la deuxième sans gluten et sans lait, pour que tout le monde puisse se régaler !
Une variante encore, pour celles et ceux qui décidément raffolent du chocolat en toutes circonstances...laugh

(Article republié)

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Et puis, pour bien commencer l'année et garder le sourire quoi qu'il arrive, jetez aussi un oeil ici ...wink

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TRADITIONS DE NOËL

16 Décembre 2021 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Gourmandises..., #Sans lait ni gluten, #Huiles Essentielles, #Infos sympas, #Autres Plaisirs, #Hiver, #Bonheurs, #Biscuits & Co, #Livres, #Traditions

Sapin, bûche et cadeaux...
Des symboles qui viennent de loin !
 TRADITIONS DE NOËL
Incontournables pour des Fêtes réussies, ils font absolument partie de la tradition. Mais qu’en est-il de l’origine de Noël, du sapin, des cadeaux et de la bûche ?
Il était une fois, il y a fort longtemps … une fête païenne, célébrée de différentes manières selon les endroits, pour accueillir le solstice d’hiver. Dans la Rome antique, par exemple, de grandes réjouissances, les Saturnales, dédiées au dieu Saturne et à la liberté, se déroulaient chaque année entre le 17 et le 24 décembre. L’échange de cadeaux faisait déjà partie de la coutume, mais ce n’est que bien plus tard que la fête païenne qui marquait le solstice est devenue Noël. Il faudra attendre 3 siècles après le début de notre ère pour que Noël soit reconnu comme fête religieuse officielle, commémorant la Nativité, et deux siècles encore pour qu’elle soit généralisée.
D’où viens-tu, roi des forêts ?
Il est temps donc de bientôt célébrer Noël, avec tout ce que cette fête signifie de chaleur, de partage et de convivialité, indépendamment des convictions religieuses de chacun, et de se réunir pour cela autour du fameux sapin. L’arbre de Noël, qui apporte sa petite magie à chaque fin d’année, que ce soit en le décorant ou en l’admirant, semble bien être un mélange de traditions païennes et chrétiennes.
Bien avant le début de notre ère, donc avant la naissance de Jésus-Christ, les Romains décoraient déjà leurs maisons de lierre, de différents feuillages et de branches de houx, à l’occasion des Saturnales, ces grandes fêtes en l’honneur de Saturne, qui se déroulaient entre le 17 et le 24 décembre.
Toujours selon une très ancienne tradition, les peuples nordiques, eux, plantaient un sapin devant leur maison à l’occasion de fêtes très débridées, données en l’honneur de certains dieux. Ces fêtes de Jul, puisque tel était leur nom, se déroulaient aux alentours du solstice d’hiver.
Dans d’autres régions de l’Europe, on décorait les portes et les fenêtres, mais aussi les plafonds et les miroirs de lierre. Par ailleurs, on retrouve chez de nombreux peuples, Celtes en tête, le culte de l’arbre sacré, symbole de l’arbre de vie.
Notre actuel sapin de Noël est certainement le descendant d’un mélange de ces différentes coutumes. Il symbolisait lui aussi l’arbre de vie, et ses premières décorations étaient donc tout naturellement des pommes.
Finalement ce n'est qu’au 18e siècle que l’arbre de Noël fit en tant que tel son entrée dans les églises. Les pommes firent peu à peu place à diverses friandises. Les bougies, initialement au nombre de douze, une par mois, se multiplièrent (et avec elles les risques d’incendie : prudence toujours !). Puis, selon les régions et les modes, les sapins s’ornèrent de figurines en paille ou de boules colorées, de guirlandes, de petits cadeaux à distribuer… bref de toutes les décorations que l’on connaît aujourd’hui.
Vive les cadeaux !
Il est de coutume à Noël d’offrir des cadeaux aux enfants, mais aussi aux membres de sa famille et aux amis. Les enjeux économiques autour d’une telle pratique ne font évidemment que l’encourager ! Mais d’où vient cette tradition, à l’origine charmante ?
Dans le monde chrétien, l’échange de cadeaux à la période de Noël remonte au 13e siècle, et fait semble-t-il référence aux offrandes des bergers et des mages venus saluer l'enfant Jésus.
Le jour choisi pour offrir - et recevoir - les présents varie d’ailleurs considérablement d’un pays, et parfois d’une région à l’autre. Ainsi, même si on évoque surtout la nuit du 24 ou le matin du 25 décembre pour gâter ceux que l’on aime, c’est parfois Saint Nicolas qui apporte les cadeaux, le 6 décembre déjà, ou alors Sainte Lucie le 13. D’autres attendent le jour du Nouvel An, d’autres encore celui des Rois.
Les grands gagnants de toutes ces variantes ?  Incontestablement les enfants italiens dont les parents respectent toutes les traditions : Saint Nicolas (le 6 décembre) ou Sainte Lucie (le 13) distribuent traditionnellement friandises, biscômes ou autres petites attentions. Le 24 ou le 25, toujours très attendu, Babbo Natale, le Père Noël, fait sa tournée, avec des cadeaux plus conséquents. La veille du 6 janvier, c’est la fée Befana qui termine les festivités en passant pendant la nuit déposer bonbons et autres douceurs pour les enfants sages…et, selon la légende, du charbon pour les autres. Histoire sans doute de bien disposer la fée, certains déposent d’ailleurs un fruit à son intention, à côté des chaussettes destinées à recevoir les bonbons !
Les sacrifices, ancêtres des cadeaux ? Qu’elle soit aujourd’hui associée à Saint Nicolas, au Père Noël ou aux Rois mages, la tradition d’échanger des cadeaux en fin d’année trouve ses origines bien avant notre ère.
Ainsi, on retrouve déjà la coutume dans la Rome antique, lors des Saturnales, de grandes réjouissances dédiées au dieu Saturne et à la liberté, qui se déroulaient chaque année entre la mi-décembre et début janvier.
Elle avait d’ailleurs probablement elle-même pour origine les sacrifices offerts aux dieux lors du solstice d’hiver, dans l’espoir d’être protégé des mauvais esprits et d’avoir de bonnes récoltes pendant toute l’année suivante… La tradition des cadeaux de Noël a donc une très longue et très vieille histoire.
Tout comme d'ailleurs un dessert typique...
Quant à la fameuse bûche de Noël, qui ne saurait manquer sur aucune table, elle est elle aussi reliée à un rite païen. Autrefois, pour avoir une bonne récolte l’année suivante, la coutume voulait que l’on place dans l’âtre une très grosse bûche, de préférence d’un tronc d’arbre fruitier, qui se consume le plus lentement possible, l’idéal étant qu’elle puisse durer jusqu’au passage de la nouvelle année. Dans ce but, elle était traditionnellement bénie juste avant l’allumage avec une branche de buis ou de laurier. En région viticole, la bûche était même arrosée de vin, pour assurer de belles vendanges. Comme on lui attribuait des vertus magiques, ses cendres étaient ensuite parfois réparties, pour améliorer les récoltes mais aussi pour protéger la maison et ses habitants.
​​​​​​​(Billet republié et complété)

 

​​​​​​​Si vous avez surtout envie d’une bûche gourmande, et si possible sans lait ni gluten, c'est par ici :

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Cueillette sauvage pour petits et grands

5 Mars 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Bien-être, #Bobologie, #Dans la forêt, #Dans le jardin, #Dans les champs, #En cuisine..., #Gastronomie sauvage, #Gastro sauvage, #Infos sympas, #Plantes, #Printemps..., #Tonus

 

Voici revenir le temps des cueillettes …​​​​

 

Un plaisir pour les petits aussi !

Cueillette sauvage pour petits et grands
Conjuguer le plaisir d’une balade en famille et celui d’une cueillette sauvage voilà sans doute l’un des grands plaisirs du printemps ! C’est en plus une excellente manière d’initier les enfants aux cadeaux de Dame Nature. À condition, bien sûr, de savoir ce que l’on ramasse…
Les plantes sauvages ont une richesse nutritionnelle incomparable. Elles regorgent de vitamines, de minéraux, d’acides aminés essentiels, d’antioxydants, autant de précieuses substances pour rester ou retrouver la forme.
Pour profiter de leurs bienfaits en toute sécurité, il est cependant essentiel de savoir les identifier et de se limiter à ne cueillir que celles que l’on connaît… en restant toujours, côté quantité, dans les limites du raisonnable.
Si vous débutez, voici quelques « simples » qui sauront vous surprendre et, avec un minimum de savoir-faire, vous régaler tout en vous invitant à découvrir la nature sous un autre angle, peut-être même à avoir envie de vous en rapprocher toujours d’avantage.
Prêt(e) pour la découverte de nouvelles saveurs ?
Le plein de vitalité à portée de main 
Sans surprise, le  pissenlit ou dent-de-lion est vraiment un classique du printemps, probablement la plante sauvage la plus récoltée. Il porte bien son nom puisqu’il facilite l’élimination tout en favorisant le bon fonctionnement du foie. Ses qualités diurétiques et dépuratives en font un grand allié pour se nettoyer, se purifier de l’intérieur.
Comment ?  Ses feuilles, hachées ou finement coupées, s’apprécient en salade, ou alors ajoutées à d’autres pousses, en légumes (passées à la vapeur, avec ensuite juste un filet d’huile d’olive et un jus de citron), en omelettes, mais aussi en infusion (1 grosse cuillère de feuilles pour une tasse d’eau, 3 fois par jour), en cure de 4 à 6 semaines.
Les boutons de ses fleurs se marient bien avec les oeufs brouillés. Ils peuvent aussi être mis au vinaigre, puis utilisés, après un mois de repos, comme des câpres.
Quant à ses racines, aux propriétés très dépuratives, elles se préparent en décoction. Après leur récolte, elles doivent être séchées puis grillées avant de pouvoir être utilisées : vous en trouverez en pharmacie.
Gourmand :   le « miel » de pissenlit, cette magnifique gelée couleur or, suffit à elle seule à nous rappeler nos grands-mamans… Ramassez beaucoup de fleurs et lancez-vous : c’est aussi facile à préparer que délicieux (voir plus bas 😋)  !

 

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Les jeunes pousses d'ortie, elles aussi, sont les vedettes du moment. L’ortie contient, dit-on, 7 fois plus de vitamines que les oranges : voilà déjà un bon argument pour partir à la cueillette… sans oublier ses gants, évidemment !
Riche également en acide silicique, en minéraux, en fer notamment, l’ortie déborde de qualités : tonique, anti-allergique, diurétique, elle stimule le métabolisme, favorise l'élimination des toxines, active la formation et la dépuration du sang…
Comment ? En soupe ou velouté, bien sûr, avec quelques pommes de terre pour une consistance plus onctueuse, en pesto, mais aussi en tisane : une cure de 3 tasses par jour est particulièrement recommandée en cas de grosse fatigue printanière. À répéter en automne si nécessaire, avec les nouvelles pousses.
Bon à savoir : séchez des orties, pour en avoir toute l’année sous la main, aussi bien pour des infusions que… pour des lotions capillaires !

 

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Quant au plantain celui-là même que l'on trouve au bord des chemins, c’est un excellent dépuratif du sang, des poumons et de l'estomac, et il sait rendre de très nombreux services.
Comment ? Haché et ajouté à vos salades, mais aussi en soupe, par exemple avec des feuilles de pissenlit et d’ortie, ou alors en gratin, avec d’autres légumes, pour profiter de ses qualités nutritives, ainsi qu’en infusion.
Bon à savoir : à la base de différents sirops contre la toux, le plantain se prête à la préparation d’une excellente potion « maison » pour purifier le sang, ainsi que pour soulager les symptômes des refroidissements.
Et ce n’est pas tout : si vous vous faites piquer par un moustique, ramassez une feuille de plantain, pressez-la pour en extraire le jus et frottez sur la piqûre : la démangeaison se calmera instantanément. Et comme la nature fait bien les choses, en général lorsqu’il y a des moustiques, le plantain n’est jamais loin !
Tant de plantes mériteraient encore une place ici ! Parmi elles, l’oseille dont les jeunes feuilles ont un goût acidulé et rafraîchissant qui fait merveille en salades. Elle aussi dépurative et diurétique, elle contribue également à renforcer les défenses naturelles de l'organisme.
Envie d’une salade fraîche et dépurative ? Préparez-la avec des feuilles d'oseille, de pissenlit et d’ortie !

 

Pas question de s’arrêter en si bon chemin…

La cueillette sauvage séduit en général rapidement petits et grands, et très vite tous trouvent que rien ne vaut une belle salade enrichie de pousses sauvages ! Deux précautions cependant s’imposent, l’une au moment de la cueillette, et l’autre de la dégustation. Choisissez bien sûr des plantes qui poussent soit en pleine forêt, soit le plus loin possible de la pollution. Et puis, même si vous craquez complètement pour ces simples et leurs saveurs, au début, consommez-les avec modération, le temps que votre organisme s’y habitue…
Les balades gourmandes vous intéressent, bien au-delà du printemps ? Tant mieux ! Il existe de nombreux cours qui permettent d'en apprendre beaucoup plus, sur les différentes espèces et variétés, mais aussi sur la cueillette dans le respect de l'environnement et sans risquer de se tromper. Renseignez-vous : il y en a certainement près de chez vous !

 

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En attendant, pour les ami(e)s de Suisse et de France, voici le site d'une passionnée qui transmet son savoir avec autant de plaisir que de gourmandise. Vous y trouverez le calendrier de tous les stages proposés.
Pour le "miel de pissenlit", c'est par ici...
Pour les orties et le plantain, vous n'avez que l'embarras du choix (faites une recherche sur le Blog ), à commencer par là...
Cueillette sauvage pour petits et grandsCueillette sauvage pour petits et grandsCueillette sauvage pour petits et grands

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Argent colloïdal : l'antibio en or massif !

18 Février 2021 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #12 mois par an !, #Bien-être, #Bobologie, #Garder la forme, #Hiver, #Infos sympas, #Peau (Soins de la), #Animaux, #Plantes, #Tonus

 

L’Argent Colloïdal ?

 

 

L'antibiotique naturel… en or massif !

Petit rappel d'un grand allié pour de nombreux maux et bobos, internes - pour les pays où c'est encore permis... - et partout en usage externe ! L'argent colloïdal ? Pensez aussi à lui😉 !
Argent colloïdal :  l'antibio en or massif !

Début d'année, saison des frissons et des refroidissements... il est temps de se protéger ou de se soigner ! Envie de le faire naturellement ? Voilà une solution toujours d'actualité, aussi bien d'ailleurs pour tous nos petits soucis à nous que pour nos amis à quatre pattes smiley !

On a longtemps pensé que si les riches étaient en meilleure santé que les autres c’était tout simplement… parce qu’ils étaient riches ! Jusqu’à ce que l’on découvre que c’était bien plus vraisemblablement parce qu’ils mangeaient et buvaient dans des couverts en argent.

Eh oui ! En restant quelques temps dans des gobelets ou des plats en argent, leurs aliments et leurs boissons s’imprégnaient en effet quelque peu du précieux métal. Pas assez pour en modifier le goût ou la saveur, mais suffisamment pourtant pour faire bénéficier l’organisme des qualités de l’argent…
Des qualités qui étaient vraisemblablement déjà connues dans l’Antiquité, puisque les Egyptiens soignaient leurs plaies avec un mélange de lait, de miel et d’argent.
Plus tard, Hippocrate, le père de la médecine, Pline puis Paracelse, tous conseillaient l’usage de l’argent à des fins thérapeutiques.
Et si, à l’heure de la conquête de l’Ouest,  les pionniers mettaient une pièce d’argent dans leur eau, c’était bel et bien pour ralentir la prolifération des bactéries.
Pour faire bref, disons simplement qu’avant 1938, une centaine de remèdes contenant de l’argent permettaient de répondre à tout autant de situations.
Quelle que soit l’époque, les exemples ne manquent pas… jusqu’à la découverte de la pénicilline !
Qu’appelle-t-on Argent Colloïdal ?
L’argent est l’un des oligo-éléments indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.
Présent en infime quantité (environ 1 mg) dans notre corps, il y joue cependant un rôle très important. La farine complète, les champignons, ainsi qu’en principe l’eau naturelle en sont de bonnes sources. L’appauvrissement des sols a cependant, entre autres conséquences, celle de diminuer la quantité des minéraux, et donc de l’argent, dans l’eau ainsi que dans les différents aliments, céréales, fruits et légumes. Un petit supplément n’est donc pas toujours superflu !
Quant au mot « colloïde », il définit une particule invisible à l’œil nu, qui ne se dissout pas mais reste en suspension.
Dans le cas de l’argent colloïdal, il s’agit donc de minuscules particules d’argent chargées électriquement, en suspension dans de l’eau déminéralisée.
Le terme de « colloïdal » concerne ici des particules d’argent de taille comprise entre  un nanomètre et un micron, c’est-à-dire entre un millionième de millimètre et un millième de millimètre. Minuscules, et pourtant dotées de si grands pouvoirs !
Différentes recherches et découvertes ont en effet mis en évidence les exceptionnelles propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal.
Largement utilisé jusqu’à la moitié du 20e siècle, l’argent colloïdal s’est trouvé relégué, voire mis aux oubliettes à partir de 1938, au moment de la découverte de la pénicilline, lorsque les médicaments antibiotiques ont fait leur entrée en force sur le marché.
Et s’il était grand temps de redécouvrir ce fabuleux remède naturel ?
Nous ne le savons désormais que trop : de plus en plus de germes et de bactéries se montrent aujourd’hui résistants aux antibiotiques. Il est donc urgent de trouver d’autres solutions.
À l’heure où notre organisme, littéralement intoxiqué par toutes les chimies ingérées au cours de son existence, ne réagit plus toujours de manière optimale à l’administration des médicaments antibiotiques, l’argent colloïdal mérite peut-être non seulement d’être redécouvert, mais réellement remis au goût du jour.
Pourquoi ?
  • L’argent colloïdal est capable de s’attaquer à la plupart des bactéries, virus et autres parasites.
  • Contrairement aux médicaments antibiotiques, l’argent colloïdal ne présente pas d’effets secondaires indésirables.
  • Ce n’est pas tout : il semble que les bactéries, si elles deviennent de plus en plus tenaces et résistent de plus en plus souvent aux antibiotiques de synthèse, ne peuvent en revanche pas développer de résistance face à l’argent colloïdal.
Avec lui, tordez le coup à la plupart des bactéries, virus et parasites !
Réputé surtout pour ses remarquables propriétés anti-infectieuses, l’argent colloïdal pourrait bien s’avérer une aide précieuse sur le chemin de la santé.
Son utilisation la plus classique, c’est bien sûr chaque fois qu’il y a une infection : refroidissements, grippe, mais aussi bactéries susceptibles de provoquer de sérieuses infections secondaires à la grippe ou à d’autres maladies virales, blessures avec plaies…
Et ce n’est pas tout ! Différentes analyses de cheveux ont par ailleurs permis de mettre en évidence un lien entre un faible niveau d’argent dans l’organisme et l’apparition ou la présence de certaines maladies, ainsi qu’avec une faiblesse du système immunitaire.
De récentes études permettent de penser que le champ d’action de l’argent colloïdal serait encore bien plus vaste …
Comment en profiter ?
Que ce soit à titre préventif, pour se maintenir en bonne forme, ou alors en guise de « réflexe santé », face par exemple à un début de rhume ou de grippe, la première utilisation de l’argent colloïdal est en solution buvable.
  • Pris régulièrement, à titre préventif, comme le plus naturel des compléments alimentaires, la dose recommandée est d’une cuillère à café d’argent colloïdal par jour, prise dans une cuillère en plastique (évitez le métal), et de préférence une demi-heure ou 1 heure après un repas.
  • Pour réagir à une infection en train de se déclarer, n’hésitez pas à augmenter la dose, mais pendant une courte période seulement (pas plus de 3 semaines)
Il y a cependant encore bien d’autres manières de profiter de l’argent colloïdal :
  • en gargarisme, pour les soins de la bouche et de la gorge (aphte, enrouement, angine…)
  • en nébulisateur, pour transformer et transporter les fines particules plus facilement et plus rapidement dans les bronches et les poumons.
  • directement en application externe, en cas d’acné, de verrues, de mycoses, de piqûres d’insectes, de brûlures, de plaies, d’ulcères…
  • en spray, pour le nez, la gorge ou même… comme déodorant !
  • en gouttes, notamment pour les yeux et les oreilles.
Et ce ne sont là que quelques suggestions…
En très petites doses, les animaux et les plantes peuvent eux aussi en bénéficier.
Enfin, la question que l’on se pose tous : quels sont les effets secondaires possibles ?
À condition de porter votre choix sur de l’argent colloïdal de qualité, préparé consciencieusement et soigneusement, il n’y a aucun effet secondaire indésirable. Eh oui, c’est encore l’un des grands avantages de ce remède naturel !
Attention : il est évident que c’est dans le cadre d’une prévention active que l’argent colloïdal est le plus intéressant. Son utilisation ne remplace en aucun cas une consultation et/ou un traitement médical lorsque cela s’avère nécessaire.

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Envie d’en savoir plus ? L’Argent Colloïdal, un remède en or, de Jeanne Perros, aux éditions Guy Trédaniel est un excellent livre, écrit pour être accessible à chacun. 

(Article republié)

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Et puis... pourquoi continuer à acheter de l’argent colloïdal à prix d’or, alors que pour un investissement de quelques centaines de francs ou d'euros vous pouvez être autonome, et le préparer vous-même pour la très modique somme de 25 à 30 centimes le litre (soit le prix de l’eau distillée) ? À la maison, nous avons adopté l’appareil depuis plusieurs années, et nous en sommes ravis smiley ! Si cela vous tente aussi, voici celui que nous avons choisi :

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OUI, L’AMOUR C’EST BON POUR LA SANTÉ !

7 Février 2020 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Bonheurs, #Beaute, #Forme, #Fleurs, #Garder la forme, #Infos sympas, #Libido, #Tonus, #12 mois par an !, #Traditions

Pas besoin d'attendre la Saint-Valentin...

 

L'Amour c'est bon pour la Santé !

OUI, L’AMOUR C’EST BON POUR LA SANTÉ !

Expérience faite, nous en étions déjà tous et toutes intimement convaincus, mais maintenant il n’y a plus de doute : l’amour, c’est bon pour la santé. Quelle chance ! Car entre nous, quelle manière plus agréable de se maintenir en forme et même de brûler au passage quelques calories ?

Un art à consommer sans modération, et à tout âge, à condition bien sûr que sentiments, Eros, désir et plaisir soient au rendez-vous.
Des baisers à l’acte sexuel, en passant par toutes les caresses possibles, les relations amoureuses semblent être la meilleure des préventions à de nombreux soucis. Un phénomène qui s’explique de différentes manières…

3 fois par semaine = 10 ans de gagné ?

Selon la médecine traditionnelle chinoise, l’énergie sexuelle, contenue dans les ovaires et les testicules, est un immense réservoir d’énergie vitale. La mise en circulation de cette énergie favorise la régénération de tout notre être, sur tous les plans. Tout est dit… ou presque !
Différentes études européennes et contemporaines, menées sur une vingtaine d’années, ont en effet démontré que le cœur était le premier à en profiter : les personnes qui s’adonnent régulièrement aux délices de l’amour sont moins sujettes aux maladies cardio-vasculaires et à l’hypertension que les autres. Un chercheur a même affirmé que « «faire l'amour au moins trois fois par semaine prolonge l'espérance de vie de dix ans en moyenne».

Cure de bien-être… et de jouvence !

Les bénéfices pour la santé des moments voluptueux ne s’arrêtent cependant pas là.
Dans la foulée, l’acte amoureux diminue les risques de diabète, calme les douleurs, chasse les maux de tête, protège du stress. Tout cela grâce à la sécrétion de différentes hormones et aux réactions qu’elles produisent sur notre cerveau, dans notre corps et sur notre bien-être.
Certains prétendent même que les jeux de l’amour contribuent à rester et à paraître jeune plus longtemps. Ainsi, un neuropsychologue, le Dr Da
vid Weeks, a constaté que les couples qui font l'amour au moins 3 fois par semaine paraissent 10 ans plus jeunes que ceux qui ne le font que 2 fois par semaine. À méditer…
Impossible enfin de négliger complètement l’aspect sportif du sexe puisque, comme la course à pied, il prévient l’accumulation des graisses et aide à éliminer les toxines !

Libido en berne ?

Lors de certaines périodes, surmenage, ménopause ou andropause notamment, la sexualité connaît parfois des hauts et quelques bas… Il vaut alors la peine d’en parler bien sûr d’abord avec votre partenaire, et si nécessaire de consulter. Une sexualité épanouie évolue et peut certes être perturbée momentanément, mais ne connaît en principe pas les années ! Ensuite, puisque l’amour, c’est bon pour le coeur, la santé et le moral, vous savez ce qu’il vous reste à faire …

Séduire, le joli souci...

C'est bien sûr toujours le moment de sortir vos meilleurs trucs pour afficher rapidement une jolie mine ! Envie de quelques coups d'éclats faciles ?
  • Pressez la moitié d’une orange, et mélangez bien le jus à un jaune d'œuf.
  • Appliquez sur votre visage, bien sûr parfaitement nettoyé, laissez agir 20 minutes, et rincez à l'eau claire. Vous voilà prête, tout en beauté !
Quant à ce masque purifiant, nul doute que vous aimerez son effet légèrement tenseur :
  • Montez un blanc d’oeuf en neige, mariez-le délicatement à un jus de citron, appliquez et laissez poser 10 minutes.
Si vous préférez un soin particulièrement onctueux….
  • Ajoutez cette fois 2 cuillères à soupe de crème fraîche à un blanc d’œuf.
  • Mélangez délicatement, posez sur le visage et sur le cou, laissez agir 15 minutes, rincez avec une lotion et… appréciez l’effet lifting !
Très sympa aussi, voici une formule fruitée avec un véritable allié bonne mine :
  • Hachez finement de petits morceaux d’ananas (frais !).
  • Ajoutez une cuillère à soupe de crème fraîche et un jaune d’œuf et, là encore, mélangez bien.
  • Étalez sur le visage et le cou, laissez agir 20 minutes, puis rincez à l’eau tiède.
Article republié
Plus d'idées beauté et séduction, y compris un bain coquin ?
Et pour inviter à votre table les saveurs de l'amour, par ici...

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Huiles essentielles : le top 10 de l’été

19 Juillet 2019 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Bien-être, #Bobologie, #Cool... relax !, #Forme, #Huiles Essentielles, #Lavande, #Menthe, #Infos sympas, #Été, #Garder la forme, #Peau (Soins de la)

 

Vacances à l’horizon ?

 

Emportez vos « Essentielles » !
Huiles essentielles : le top 10 de l’été
Petites, précieuses et faciles à glisser dans vos bagages, certaines huiles essentielles vous rendront de grands services en vacances. À choisir selon vos besoins…
Citron (Citrus limonum) - Si vous êtes sujet(te) aux mycoses, un truc simple pour les prévenir :
  • Ajoutez 5 gouttes d’essence de citron et 8 gouttes d’huile essentielle de thym à 50 ml de crème ou de lotion pour le corps.
  • Appliquez sur les zones à risque.
Attention toutefois avec l’essence de citron : comme celle de tous les agrumes, elle est photosensibilisante, donc pas question de s’exposer au soleil après !
Citronnelle (Cymbopogon winterianus) - À titre préventif, contre toutes les piqûres d’été, surtout la nuit et en soirée... 
  • Déposez quelques gouttes  autour de la table et des chaises, et renouvelez toutes les 2 heures.
  • Pour la nuit : 1 ou 2 gouttes sur l’oreiller ou le col du pyjama…
Eucalyptus radié (Eucalyptus radiata) 
  • Versez quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus dans une lotion pour le corps : vous tiendrez ainsi plus facilement les moustiques, mais aussi les insectes en général à distance. Très pratique en voyage !
Géranium rosat (Pelargonium graveolens)
La nuit, quelques gouttes d’huile essentielle de géranium rosat et de menthe poivrée sur votre oreiller tiendront les moustiques éloignés.
Et le jour ?
  • Ayez toujours avec vous un petit flacon, contenant 10 gouttes d’huile de géranium rosat  et autant de lavande : en cas de besoin, appliquez 2 gouttes de ce mélange sur la piqûre.
Gingembre (Zingiber officinale) - un grand allié en cas d’état nauséeux, ainsi que pour soulager, mieux, prévenir le mal des transports, pour petits et grands !
  • Diluez une goutte d’huile essentielle de gingembre dans l’équivalent de 5 gouttes d’huile végétale.
  • Massez le plexus avec ce mélange.
Une autre option, plus pratique si le mal se manifeste pendant le voyage et que vous n’avez pas préparé votre petit mélange : croquez un petit morceau de sucre sur lequel vous avez préalablement déposé une goutte d’huile essentielle de gingembre.

 

Lavande vraie, fine ou officinale (Lavandula angustifolia , Lavandula Vera, Lavendula Officinalis) - L’incontournable, pour toute la famille, et en de nombreuses circonstances ! Toujours très pratique, à plus forte raison que la lavande est l’une des rares huiles essentielles à pouvoir être utilisée pure.
  • Stressé(e) par les préparatifs, ou l’horaire à tenir pou ne pas manquer l’avion ? Pour calmer le jeu, déposez 1 goutte à l’intérieur de chaque poignet !

     

  • Mal des voyages ? Versez 3 gouttes d'huile essentielle de lavande sur un mouchoir en papier et inhalez.
  • Pure ou diluée dans un peu d’huile végétale, elle soulage aussi les coups de soleil.
  • En cas de piqûre de guêpe et même de méduse, appliquez directement 1 à 2 gouttes de lavande aspic sur la piqûre.
Menthe poivrée (Mentha piperita) - Un long trajet en perspective ? Avec elle, gardez les idées claires et rester éveillé :
  • Déposez quelques gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée sur un mouchoir en papier et glissez-le dans la ventilation de la voiture.
Utile aussi contre le mal des transports : 1 à 2 gouttes d’huile essentielle diluées dans un peu d’huile végétale à appliquer sur le plexus solaire, ainsi que 1 ou 2 gouttes sur un mouchoir à inhaler pendant le voyage.
Pamplemousse (Citrus X paradisi Macfadyen) -  Vous avez abusé des plaisirs de la table ou… trop fait la fête la veille ?
  • Prenez 2 gouttes d’huile essentielle de pamplemousse dans un peu de miel, à la fin du repas.
Tea tree (Melaleuca alternifolia) - Une autre huile essentielle à presque tout faire ! Et plus particulièrement cet été… par exemple en cas de piqûre d’insectes, abeilles et guêpes comprises :
  • Appliquez une goutte d’huile essentielle de tea tree, ou arbre à thé, sur l’endroit douloureux !
Cet excellent désinfectant  convient également pour les plaies.

 

Ylang-ylang (Cananga odorata) – Vous êtes resté trop longtemps au soleil, votre peau rougit, le coup de soleil menace ?
  • Mélangez 3 gouttes d’huile essentielle d’ylang-ylang et 1 cuillère à café de vinaigre de cidre à 1 litre d’eau froide.
  • Plongez-y une serviette propre, et appliquez-la sur l’endroit douloureux. Renouvelez autant que nécessaire. Effet apaisant garanti !
Ce ne sont bien sûr là que quelques-unes des applications de ces 10 huiles essentielles, choisies pour leurs qualités en relation directe avec les petits soucis de l’été. Chacune d’entre elles peut faire beaucoup plus pour vous…  à condition évidemment de bien vous renseigner et de les utiliser avec la plus grande prudence : naturelle ne veut pas dire sans danger, et, ici encore plus qu’ailleurs, pas question de jouer les apprentis sorciers !
Moyennant quoi, ces merveilleuses petites huiles n’auront que des bienfaits à vous apporter !
Une dernière recommandation  s’impose…
Par précaution, pas d’huile essentielle pour les femmes enceintes ou allaitantes, ni pour les enfants de moins de 3 ans !
En cas de soucis de santé, prenez toujours l’avis de votre médecin ou d’un aromathérapeute professionnel avant d’utiliser une huile essentielle.

La photo de ylang-ylang est de Maya A.P, via Pixabay. Merci à elle smiley !

        

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Huiles essentielles : le top 10 de l’étéHuiles essentielles : le top 10 de l’étéHuiles essentielles : le top 10 de l’été

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ALLERGIES : A comme Atchoum ...

16 Mars 2018 , Rédigé par Le Blog de Véronique Alice Publié dans #Bien-être, #Bobos & Co, #Forme, #Phyto, #Printemps..., #Fleurs, #Garder la forme, #Huiles Essentielles, #Infos sympas, #Dans la forêt, #Dans les champs, #Plantes

 

A comme… Atchoum et Allergies

Ça y est, il est de retour, vive le printemps ! Enfin, pas pour tout le monde. Éternuements en rafales, larmoiements et picotements, nez qui coule et gorge qui gratte… vous ne connaissez que trop ? L’idéal aurait été de s’y prendre assez tôt. Une séance d’acupuncture tous les 15 jours, par exemple, à partir de janvier, limite sérieusement les dégâts. Trop tard ? Parez au plus urgent…
Grâce à sa double action préventive et curative, et comme il n’est jamais trop tard pour bien faire, l’acupuncture reste une bonne option : deux séances par semaine dès les premières réactions assurent déjà un printemps plus confortable.
Au rayon des oligo-éléments, cobalt et manganèse sont précieux pour lutter contre les allergies.
L’homéopathie, elle aussi, offre une aide appréciable. À choisir en fonction du terrain, avec l’aide d’un(e) professionnelle !
L’huile de nigelle, à raison d’une cuillère à café chaque matin, semble aussi atténuer ce gros souci de saison.
Parmi les remèdes naturels qui ont fait leurs preuves, pensez aussi à l’huile essentielle d'estragon, qui a une action anti-histaminique. Gardez-en toujours un petit flacon à portée de main, et respirez-la à plein nez chaque fois que vous sentez une crise arriver. Elle vous soulagera immédiatement, et peut-être même sur la durée.
Quant à la cure d'infusion d'orties, soit 1 à 1,5 litre dans la journée, côté désensibilisation c'est tout simplement un "must"  !
Gare aux pollens mais... vive le plantain !
Enfin, mon préféré d’entre tous, vraiment très efficace (en tout cas pour moi) : la teinture-mère de plantain.
Si ce sont les pollens d’arbre qui vous incommodent, il vous la faut tout de suite, immédiatement : droguiste, herboriste ou pharmacien vous la proposeront toute prête.
  • Prenez-en de 25 à 30 gouttes, 3 fois par jour, dans un petit verre d’eau.
Si vous êtes surtout sensible aux graminées ou à certaines fleurs, vous avez un petit répit. Dans ce cas, préparez-la vous-même, au moins partiellement :
Et pour la nigelle, c'est par là :
Et surtout... BEAU PRINTEMPS !

 

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DIETETIQUE CHINOISE : QUE MANGER EN CE MOMENT ?

24 Novembre 2017 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Automne, #Dans les Jardins Amis, #En cuisine..., #Forme, #Garder la forme, #Hiver, #Infos sympas, #Legumes, #Sans lait ni gluten, #Bien-être, #Boissons sages, #Epices

 

Diététique chinoise

 

 

Que manger en ce moment ?

Selon la saison, son influence parfois sur notre humeur, mais assurément sur notre organisme, la médecine traditionnelle chinoise préconise de privilégier certains aliments et modes de préparation. Histoire de maintenir, toujours, ce fameux équilibre que l’on appelle la santé !
Démonstration par l’exemple, avec deux recettes et explications offertes par Antoine Wegmüller, praticien en médecine traditionnelle chinoise. Loin de se résumer exclusivement à l’acupuncture, la M.T.C donne une place important à la diététique, tandis que notre homme, lui, ne néglige pas les plaisirs de la table…
Dés de courge à la vapeur aux effluves de gingembre  
Ingrédients en accompagnement pour 2 à 3 personnes : 500 g de courge (verte, Butternut ou orange) pelée et coupée en cubes de 1,5 à 2 cm, 3 ou 4 grosses tranches de gingembre
Préparation :
  • Mettre les ingrédients dans un bol et disposer le tout dans un panier à la vapeur.
  • Dès que l’eau bout, cuire à feu vif entre 15 et 30 min, selon la variété de courge choisie.
  • Retirer le bol du panier vapeur et servir.
Propriétés :
La courge possède un Qi neutre ; sa saveur est douce et fade. Elle tonifie le foyer moyen, favorise le poumon et les intestins et active la circulation des liquides.
Côtes de chou chinois au tofu et champignons parfumés
Ingrédients pour 2 à 3 personnes 5 à 8 feuilles de choux chinois, 100 à 150 g de tofu souple, 5 champignons parfumés Shitaké, 5 dl de bouillon de poule, 100 g de jambon de campagne, 1 cuillère à soupe de crevettes séchées
Préparation et cuisson :
  • Tremper les champignons séchés durant 30 à 60 min dans un peu d’eau tiède.
  • Laver et couper les côtes de chou ; couper le jambon en lamelles et le tofu en cubes.
  • Disposer tous les ingrédients en couches dans une petite marmite en terre cuite (voir photo) ou un caquelon et mouiller avec le bouillon.
  • Porter à ébullition, réduire le feu, mijoter 15 à 20 minutes et servir.
Propriétés :
Le chou et le champignon parfumé sont de tempérament neutre et de saveur douce et favorisent l’estomac. Le tofu est de saveur douce, et il favorise aussi l’estomac. Le jambon de campagne et la crevette sont salés et vont au rein. Nous avons donc ici une préparation très digeste qui soutient et favorise le Qi de l’estomac et du rein en hiver. Un excellent accompagnement avec d’autres plats.

Et pour finir, un petit remède familial d’Antoine, toujours de saison...

Boisson au gingembre et sucre brun
 

Il vous faut :
15 gr de racine fraîche de gingembre
20 gr de sucre brun
Facultatif : 10 g (1 cuillère à soupe) de baies de goji

Préparation :
  • Peler le gingembre et couper en tranches.
  • Faire cuire le gingembre dans 1 bol d'eau pendant 2 min.
  • Ajouter le sucre et continuer à cuire pendant 1 minute.
Propriétés :

Ce remède familial pour traiter le rhume disperse le froid et le vent à l’intérieur de l’organisme, induit la transpiration, libère la surface.
Prenez éventuellement un peu de soupe chaude, puis couvrez-vous bien après la prise de la boisson afin de transpirer légèrement.
 
PS : avec ou sans refroidissement, pour un accent plus "tonique", ajoutez 1 gramme de poudre de ginseng ou une petite dose de concentré de ginseng (en pharmacie). Vous trouverez aussi des doses de thé de ginseng de 1 g sous forme de granules à dissoudre dans le liquide chaud.

 

Plein d'autres conseils pour une fin d'année en forme ?

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NON AUX REFROIDISSEMENTS !

13 Octobre 2017 , Rédigé par Véronique Alice Publié dans #Infos sympas, #Automne, #Bien-être, #Forme, #Garder la forme, #Plantes, #Soins du corps, #Tonus, #Hiver, #Phyto, #Bobologie, #En cuisine..., #Diététique, #Epices

 

Voici venir la saison des refroidissements...

 

Comment passer

 

entre les gouttes ?
NON AUX REFROIDISSEMENTS !
Derniers cosmos, premières citrouilles, bientôt vent, pluie et plus froid… voilà qui annonce, si l’on n’y prend pas garde, quelques inconvénients typiquement de saison. Maux de gorge, nez qui coule et autres éternuements ne sont toutefois pas une fatalité. Que préconise la MTC, Médecine Traditionnelle Chinoise, pour garder son corps au chaud ? 
Dès l’automne, de même que dans la nature la sève se retire progressivement, l’énergie retourne un peu à l’intérieur de nous pour se reposer, se régénérer. Conséquence: nous sommes moins bien protégés des éventuelles agressions extérieures. Comment prévenir les refroidissements qui, s’ils arrivent vite, peuvent se transformer tout aussi rapidement ?
Quelques réponses avec Antoine Wegmüller, acupuncteur et praticien de médecine traditionnelle chinoise...
« En ce moment il s’agit surtout de soutenir l’énergie originelle, zhen chi, et l’énergie défensive, wei chi, pour se protéger des énergies externes. Certains principes qui contribuent à entretenir l’énergie vitale, sont beaucoup plus importants que des traitements ciblés. Les coups de froid ont deux entrées possibles : l’une à l’arrière par la « Porte du vent », c’est-à-dire le haut du dos et la nuque, et l’autre à l’avant par le nez ou par la bouche.
La première mesure consiste donc à bien se vêtir, à couvrir les zones par lesquelles le « pervers », en l’occurrence le froid, pourrait pénétrer. Deuxième conseil tout aussi simple : « il est important de bien se reposer, afin de laisser l’énergie enfouie à l’intérieur de nous se régénérer. Les jours raccourcissent et les besoins de l’organisme ne sont pas les mêmes ».
Côté alimentation, une recommandation souvent dispensée avec raison par les aînés : veillez à manger quelque chose de chaud à chaque repas, en privilégiant les mets mijotés tels que ragoûts et plats au four. « La cuisson lente amène plus de chi à l’intérieur des couches profondes », explique Antoine Wegmüller. Sa suggestion ? « Un pot au feu une fois par semaine, avec une petite racine de ginseng, 2 cuillères à soupe de baies de goji, 3 ou 4 rondelles de gingembre, un anis étoilé et éventuellement un petit piment, constitue une délicieuse prévention ».
Dernière recommandation d’ordre général : évitez de vous faire transpirer en hiver ! « Pas trop de jogging, ni de massage, et encore moins de sauna : ces pratiques amènent l’énergie à la surface du corps, ce qui a pour effet de la disperser, alors qu’il s’agirait justement de la conserver ».
Les jardins nous le montrent bien : ce n'est plus la belle saison, pas encore tout à fait la mauvaise... Suffisamment de repos et petits plats épicés constituent une bonne prévention. !

Les jardins nous le montrent bien : ce n'est plus la belle saison, pas encore tout à fait la mauvaise... Suffisamment de repos et petits plats épicés constituent une bonne prévention. !

Moxas ou acupressure ?
Intéressants aussi : certains exercices du Qi Gong, ancestrale gymnastique de santé et de longévité, ont précisément pour objectif d’accroître les défenses en automne et en hiver. La M.T.C (médecine traditionnelle chinoise) propose également la pratique de la moxibustion, qui consiste à chauffer certaines parties du corps avec un bâtonnet d’armoise incandescent au-dessus de différents points d’acupuncture. Les moxas se pratiquent en principe chez l’acupuncteur, mais il arrive que ce dernier apprenne à ses patients à procéder eux-mêmes. Et pour cause : chaque point est à effectuer 10 minutes chaque jour, à partir du mois d’août et jusqu’en décembre, soit pendant la période de descente de l’énergie !
À défaut de pouvoir faire des moxas, l’acupressure peut aussi s’avérer utile. « Les deux points à traiter sont alors le 36 E, le long du méridien de l’estomac, sur le côté extérieur de la jambe, à quatre doigts au-dessous de la rotule, et le 4 VC, sur le méridien vaisseau conception, à mi-chemin entre le nombril et l’os du pubis : pressez le point et massez-le en tournant sur place, et effectuez ainsi 200 rotations ».
Encore un conseil du spécialiste que celles et ceux qui ont souvent les pieds et les mains froids apprécieront : « il suffit d’appliquer une bouillotte sur le bas-ventre, dans lequel se trouve justement le point 4 VC, pendant 10 à 20 minutes». À pratiquer sans tarder pour mettre toutes les chances de son côté de passer entre les gouttes ! Et s’il est trop tard ? « Quel que soit le choix thérapeutique, réagissez tout de suite, dès les premiers symptômes, pour éviter que le «pervers» n’entre plus en profondeur ! ».
(Billet republié)
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Et toujours pour renforcer votre bouclier naturel, pourquoi pas une petite mais très efficace préparation "maison" ?
NON AUX REFROIDISSEMENTS !NON AUX REFROIDISSEMENTS !NON AUX REFROIDISSEMENTS !

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